Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 21:35

Mercredi 19 octobre 2011319/10/Oct/201119:38

 

 

pediatrie-Bangui.jpg

 

Radio Ndéké Luka Mercredi, 19 Octobre 2011 13:26

Attention, patients des hôpitaux publics de Bangui ! Il est presque interdit de souffrir d’une maladie qui nécessite un examen radiographique. Ces hôpitaux manquent cruellement de films pour la réalisation de ces opérations cliniques. Le constat est fait ce mercredi n19 octobre 2011, par Radio Ndeke Luka.

De l’hôpital Communautaire en passant par l’Amitié et le Centre Hospitalier Universitaire de Bangui, ce sont des plaintes venues de la part des patients atteints par exemple de la tuberculose voire victimes de fractures fermées.

Médecins généralistes ou spécialistes assistent sont impuissants face aux malades.

Face à cette situation, Docteur Silla Bassirou, Directeur de l’Unité de Cession des Médicaments en Centrafrique rassure (UCM). « Nos fournisseurs viennent de nous saisir de l’arrivée depuis le mois de septembre dernier à Douala au Cameroun, de 2 containers de ces matériels médicaux. Il ne reste plus qu’à les acheminer sur Bangui. Pour répondre à la préoccupation des malades, l’UCM a déjà passé une autre commande par la voie aérienne, en urgence, qui arrivera vendredi 23 octobre.

Toutefois, l’autre difficulté que connait l’UCM est aussi l’acheminement dans les préfectures sanitaires, des médicaments composés entre autres d’antis rétroviraux, réactifs ou antis parasitaires fournis par le Fonds Mondial. La direction se heurte notamment à un problème de carburant faute de financement.

Par le passé, explique docteur Silla Bassirou, « c’était le bénéficiaire principal, le Comité National de Lutte contre le SIDA (CNLS) qui s’en chargeait. Seulement, une note venue de Genève il y a quelques jours, indique que c’est désormais l’UCM qui devrait acheminer ces médicaments dans les centres concernés ».

Il va sans dire qu’en raison de ce retard, les Centres de Dépistages Volontaires (CDV) répartis sur l’ensemble du territoire centrafricain, sont toujours en rupture de ces produits et matériels médicaux.

NDLR : Les conséquences de la mauvaise gouvernance du pays par la clique actuellement au pouvoir à Bangui sont synonyme d’une véritable descente aux enfers pour le peuple centrafricain. Entre la famine qui sévit à présent presque partout dans le pays, les délestages chroniques du courant, les pénuries d’eau potable et l’écroulement des ponts les uns après les autres dans la capitale, les citoyens ne savent plus où donner de la tête. Maintenant s’y ajoutent des pénuries de matériel médical, ce qui pourrait se traduire pas une certaine augmentation du nombre de morts.

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 21:30

 20 octobre 2011420/10/Oct/201117:28

20 octobre 2011420/10/Oct/201117:28

urgent

 

 

 

 

boz

 

 

Selon la bande défilante sur le site web en date du mercredi 19.10.2011 de notre confrère www.tchadactuel.com, généralement assez bien informé, "le retour précipité du président tchadien à N’djaména" alors qu’il prenait part à Bamako au Mali aux travaux du forum sur l’eau et l’assainissement organisés par la Fondation Jacques Chirac "serait lié à l'état de santé plus qu'alarmant de son Sous-Préfet de l'Oubangui Chari, François Bozizé".

On le voit et eu égard à l’opacité qui entoure la vie et les activités du président centrafricain, c’est du Tchad qu’on est informé sur lui et sur son sort qui fait l'objet ces derniers jours et semaines des rumeurs les plus inquiétantes. Que se passe-t-il vraiment à Bangui ?

Si le président Bozizé est malade ou en bonne santé, son médecin personnel doit publier un bulletein de santé pour mettre fin à toutes ces rumeurs insupportables.

Rédaction C.A.P 

 

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 23:52

»

Par Luidor NONO - 07/10/2011
Il est le Directeur fondateur de la société Afrinex fondée en 2009, qui est «la Centrale d’achat de l’Afrique aux portes de l’Europe»

 

Dites-nous qui vous êtes et à nos lecteurs aussi
Je suis arrivé en France après le Bac, à Lyon où j’ai fait ma formation universitaire. J’ai pu bénéficier d’un financement de 2 ans de formation en gestion de centre de profit, co-organisée par le GRETA et le Centre d’études supérieur industriel de Lyon. Après cette formation, j’ai pu intégrer le Groupe Total en tant que Manager. J’ai travaillé pendant six ans dans diverses stations services du groupe en région lyonnaise. A mon actif, le pilotage du projet «Look premier et Perf 2000». En 1997, je me suis mis en freelance ou j’ai travaillé pour le compte de plusieurs entreprises où j’ai réalisé des études de faisabilité et pilotage de projets tant en Afrique qu’aux Antilles françaises. Je suis actuellement Directeur de magasin dans un groupe de distribution alimentaire.

 


© journaldebangui.com
Martin Ngboda, Directeur de magasin

Comment est-ce qu’on décide, en tant que centrafricain de s’installer en France et de dire je vais rentrer ou pas?
Je ne me pose pas cette question, surtout quant on est arrivé initialement pour les études. Je ne pense pas avoir décidé de m’installer en France. On reste là par la force des choses. Surtout parce qu’on a plus d’opportunités ici que chez nous. Je suis un afro-optimiste et je pense que les choses évoluent en Afrique mais, c’est le rythme qui est lent ou alors on est plutôt impatient. Pour ma part je dois capitaliser mes connaissances et expériences pour que cela puisse servir en Afrique dans le cadre d’un transfert de savoir faire.

Se déployer chez soi ça suppose quoi, comment est-ce que cela se traduit?
Ça implique de bien connaître le tissu économique local, d’avoir une bonne connaissance des ressources humaines et sociales, mener une bonne étude de marché et trouver des partenaires qui œuvrent dans le même sens afin qu’on puisse asseoir une activité viable. En ce qui me concerne, Afrinex est une entreprise qui assoit son activité dans un milieu dont j’ai la maîtrise, j’ai la chance d’avoir une profession où je travaille en toute autonomie. Quant on voit la mutation économique actuelle avec l’émergence de la Chine ou l’Inde, on se doit de demander pourquoi pas demain «le temps de l’Afrique», comme l’affirme Jean Michel Sévérino?

Comment est-ce qu’on gère le quotidien?
C’est assez difficile car il faut concilier sa vie de famille, son activité professionnelle et son projet personnel, on finit par avoir des emplois du temps en rallonge. Malgré tout, je suis passionné par ce que je fais, il y a un réel sacrifice à faire pour mettre les choses en route, mais je n’ai surtout pas envie de finir ma carrière ici sans pour autant contribuer concrètement au développement de l’Afrique comme c’est malheureusement de plusieurs de la diaspora.

 


© http://www.afrinex.fr

Quelles sont les difficultés que vous rencontrez quand vous gérez tout ça?
Il y a des contraintes; d’une part la gestion d’un centre de profit nécessite une présence physique même si l’on délègue certaines responsabilités, surtout lorsqu’on a une bonne dizaine d’employés sous sa responsabilité. Il y a un travail d’organisation et de management à faire, et puis il y a des objectifs que l’on se doit de tenir. A côté de cela, j’ai maintenant mon activité personnelle dans le cadre de mon entreprise. Je dois traiter les demandes de la clientèle répondre aux contacts, trouver des fournisseurs, missionner des collaborateurs au niveau local etc. Tout cela demande du temps, une fois rentré chez moi après ma journée de travail, il faut encore bosser parfois jusqu’à 2 heures voire 3 heures du matin pour repartir tôt le lendemain, mais je ferais très bientôt un choix une fois qu’Afrinex aura pris son essor.

Est-ce que votre récent séjour à Bangui vous a donné plus de visibilité?
Ça m’a permis de valider mon étude de marché sur le plan local et gagner en crédibilité en créant une cadre d’échange grâce à la chambre de commerce avec les opérateurs économiques locaux. Avant d’aller à Bangui, je me suis rendu à Kinshasa il y a deux ans de cela dans la même optique, voir un peu comment ça se passe, du fait que c’est une activité qui dépasse nos frontières. Quand on a un projet d’affaires conçu depuis l’Europe même si les besoins sont réels, il faut l’adapter à nos réalités, nos compatriotes ne sont pas systématiquement réceptifs à ce qui leur est proposé depuis l’extérieur et il y a d’autres qui pensent qu’on débarque avec des moyens financiers et matériels à suffisance, alors que la production de richesses est le but recherché. Pour ne pas avoir des rapports conflictuels, il faut adopter un profil bas, s’armer de patience et faire un travail de communication et d’échange avec eux. Ça m’a été très constructif parce que je me suis vraiment rendu compte qu’il y avait des problèmes tant au niveau de la Chambre de commerce qu’au niveau des opérateurs économiques là-bas. Je les ai approchés pour qu’on puisse ensemble avoir la même vision des choses. Donc il ne faut pas vraiment être coupé de la base, il faut tout le temps se rapprocher de manière à ce que le projet puisse trouver des chances de pouvoir se réaliser.

Quelle a été l’attitude des institutionnels par rapport au projet que vous portez et par rapport à votre démarche?
Pour une première approche, il y avait une distance. Malheureusement au niveau de nos pays là-bas, les gens sont encore trop administratifs. Pour rencontrer un opérationnel, il faut toute une série de formalités, on manque de pragmatisme. Mais la finalité est de créer un contact, cela a été bien difficile au départ mais dès que les contacts se sont établis, j’ai eu du monde, notamment la chambre du commerce qui s’est rendue très disponible et qui m’a permis en un temps record, c’est-à-dire en deux semaines, arrêter une date de réunion, fixer des rendez-vous, choisir un panel d’entrepreneurs, convoquer et organiser une réunion. Cela leur a permis de valoriser la Chambre de commerce et dire que les Centrafricains peuvent utiliser cet espace pour pouvoir créer un contact dans le cadre qui leur est dévolu.

 


© journaldebangui.com
Martin Ngboda, sur ses terres centrafricaines

Quelle idée du tissu économique centrafricain avez-vous aujourd’hui?
Très embryonnaire, voire aléatoire, il y a un état d’esprit qui est qu’en matière d’entreprise, il n’y a que les étrangers entre guillemets qui peuvent entreprendre et réussir chez nous. C’est un état d’esprit parce qu’on pense qu’il y a tellement de barrières pour les nationaux qu’il ne faut même pas oser. C’est une fausse conception des choses. C’est à moi de leur dire il faut s’y mettre, il faut juste être un peu ambitieux. Il n’y a pas le vecteur de communication, il n’y a pas une stratégie de communication, c’est vraiment de la débrouillardise.

Et votre conseil?
Mon conseil, c’est que c’est mon pays en tout état de cause, je suis condamné à être partenaire avec les opérateurs locaux. C’est objectif parce que je vois ce qu’on fait ici et je sais qu’on a de la capacité. Quand on voit les résultats économiques réalisés ici, je me demande comment ce fait-il que je ne puisse pas faire de la même manière que là-bas? Vu qu’il n’y a que des opportunités et que les conditions sont plus favorables. C’est le défi que je me fixe pour l’avenir.

Quand vous n’êtes pas pris par dans votre entreprise, qu’est-ce que vous faites d’autre?
J’ai une activité cultuelle aussi, je suis chrétien croyant et je m’implique aussi dans ce cadre dans mon Eglise. C’est important pour mon équilibre. En dehors de cela je m’aère de temps en temps l’esprit en fréquentant les restaurants africains de la place, ça me permet de recréer un peu l’ambiance que l’on ne retrouve pas forcément ici, c’est-à-dire avec de la musique africaine pour que nous discutions. C’est notre culture, c’est notre réalité, cela permet de me détendre, de faire du vide pour reprendre en force les activités en début de semaine.

Le plat africain que vous aimez?
C’est le ngoundja national (feuille de manioc frais pilé cuit avec de la viande ou du poisson fumé) avec du Chikouang (pain de manioc). Ça me replonge dans mon Bangui natal.

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 23:32

Le Pr. Gaston Mandata N’Guérékata rencontre des Centrafricains à Paris

Par Joseph Kpossa-Manga - 05/10/2011
L'Ancien ministre de la Recherche scientifique et technique chargé de l’Environnement est actuellement Enseignant-Chercheur à Morgan State University à Baltimore

 

Bonjour Professeur. Pouvez-vous nous dire les raisons de votre séjour français?
Paris est sur la route qui mène de Baltimore à Bangui, j’y ai fait escale pour rencontrer les Centrafricains, les amis de la RCA afin de passer en revue l’actualité de notre pays, de la sous-région ainsi que celle du monde.

En votre qualité d’ancien ministre de la recherche scientifique et Recteur d’Université, quel sentiment avez-vous sur l’issue de la grève des enseignants du supérieur et des étudiants?
Que du temps, énormément de temps perdu et c’est la principale caractéristique du régime KNK. Les enseignants et les étudiants étaient dans leurs droits et le pouvoir a engagé un bras de fer inutile. Du temps perdu pour ce pays qui n’en a pas besoin. Le gouvernement a reconnu la légitimité de la grève pour rien puisque l’ancien Recteur a été révoqué. La reprise des cours à l’université même si elle éloigne le danger d’une année blanche, ne résout pas le problème. En effet, même si je ne le souhaite pas, tant que les questions soulevées ne seront pas réglées de façon globale, au mois d’avril de l’année prochaine, les enseignants feront encore une autre grève pour exiger que ce gouvernement tienne ses promesses. Ce sera encore un autre gâchis. Voyez-vous, comme hier pour la crise universitaire, aujourd’hui le Choléra se propage en Centrafrique alors que cela fait plusieurs semaines qu’il était signalé à nos portes. Même attitude pour les affrontements interethnique de Bria où celui qui est considéré comme le garant de l’intégrité physique et morale de chaque Centrafricain a attendu plusieurs jours pour venir nous dire qu’il n’a rien à voir dans ce qui s’est passé. Une façon de dire qu’il n’est en rien concerné par les problèmes auxquelles nous sommes confrontés quotidiennement. La crise de l’énergie dure depuis plusieurs années mais nous avons eu le même ministre pendant près de 7 ans. Il en est de même pour la crise sécuritaire qui s’est amplifiée depuis 2006 mais nous avons le même ministre de la défense. Je pourrais vous citer ces exemples à l’infini.

Il y a six mois le Général-Président François Bozizé Yangouvonda prêtait serment. Quelle lecture faites-vous de ce début de quinquennat?
J’attends toujours de voir le début du quinquennat en question pour apprécier. En effet la prestation du 15 mars 2011 ne constitue pas un point de référence puisque rien n’a changé depuis lors et que toutes les crises précédant cette date ont connu des évolutions qui nous font craindre le pire pour les temps à venir. Il est démontré que nous nous acheminons inéluctablement vers le moment où ces crises atteindront leur paroxysme.

Et votre analyse du comportement des partis politiques d’opposition?
Un seul mot: déception!

Finalement, où peut-on vous situer sur l’échiquier politique centrafricain puisqu’on pourrait vous placez dans cette opposition?
Ma famille politique d’origine est le Rassemblement Démocratique Centrafricain. Je suis actuellement membre du Mouvement citoyen Fini Kodé. J’appartiens à l’opposition légale, c’est-à-dire celle qui n’a pas pris les armes contre Bozizé et le KNK mais contre qui, certains envoient des tontons-macoutes, usent d’intimidation, espionnent et brutalisent. Mais au regard de la situation que traverse actuellement notre pays, il faut procéder à la mise en place d’une force qui dépasse les cadres partisans pour fusionner toutes les intelligences afin de travailler à son redressement. Je suis conscient que c’est l’unique possibilité pour assurer la rupture. C’est vous dire que l’offre politique envisagée dépasse le cadre de ma famille politique originelle et intègre toutes les forces positives de la RCA. Pour répondre clairement à votre question, j’appartiens à la famille politique de ceux qui s’opposent à la République du KNK ainsi qu’à ses méthodes qui favorisent la régression quotidienne de notre

Mais la République Centrafricaine vient à peine de sortir de sa dernière période électorale, êtes-vous en train de vous positionner pour 2016?
2016 est à la fois si loin et si proche de nous. Il n’est pas une obsession et une fin en soi car nous ne savons pas de quoi le lendemain sera fait. Par contre nous savons de quoi le présent est fait. Il est fait de chaos, de désolation, de famine, de clanisme, d’affairisme, de brutalité, d’impunité. Le présent? C’est encore un pays qui est devenu une caricature de République aux institutions euthanasiées, au chômage endémique et aux problèmes environnementaux, scolaires, universitaires et sanitaires aigües. Le présent, c’est enfin un État privatisé au bénéfice d’un clan à l’intérieur duquel prospèrent toutes les violations qui existent sous le soleil. Pour le moment, nous travaillons à réaliser le plus grand rassemblement possible des Centrafricains afin de créer la dynamique du changement et trouver les solutions aux différents problèmes qui constituent les défis que doivent relever les fils et les filles de la RCA d’aujourd’hui et de demain. Et si ce travail devra m’emmener en 2016 à me présenter devant mes compatriotes, croyez-moi, ma détermination n’aura jamais été aussi grande qu’elle ne l’est aujourd’hui. Nous travaillons en ce moment à la constitution d’une alternative crédible à François Bozizé et le KNK.

UN COMMENTAIRE QUI EN DIT LONG

 

Il est permis a tout le monde de rêver,le règne de la démagogie le permet largement

Par AALM,l'étudiantt en science-po
06/10/2011 12:04
Il est permis à tout le monde de rêver de la Mangeoire,seul le peuple décide. La politique du ventre fait bouger beaucoup de gens même les grands complexés qui ne peuvent se mélanger à un bas peuple.
Qu'est-ce que cet individu a fait dans et pour ce pays jusqu'à sa soixantaine sonnante? Pourquoi ne dénonçait-illes régimes durs d'avant comme la franchise qu'il retrouve aujourd'hui ?Les gens du RdC dont il expliquait à voix basse la methode avec laquelle ils s'appropriaient frauduleusement les villas d'etat sans débourser un rond ou des crédits minimes sans honorer? IL SE FAISAIT TOUT PETIT,pensant à son intére^t du moment,le poste ministériel après avoir massacré les étudiants dans cette même université dont il se soucie curieusement de l'avenir.Ce monsieure mal dans sa peau, pour lui et plein d'autres,vivre au pays,il faut être ministre ou président. Profeseur en frustration de statut social ,il humiliait ses frères étudiants. du jour au lendemain le voilà devenir peuple?
Il a composé avec les pires dictatures sans brancher,maintenant la démocratie doit leur servir de terrain de désordre. Tous les rats sortent des trous,et comme nous sommes un peuple maudit près à écouter n'importe quel charlatan,voilà qu'on ne ramasse qui on mérite et notre calvaire de rallonger.
Il était à l'aise avec une dictaure pendant que les autres luttaient;la démocratie arrivée par patassé,monsieur se dit obligé de quitter le pays. C'est un allergique à la démocratie,qui revient nous parler des bienfaits de la démocratie .Il vient nous faire de la démagogie sur le cholera. L'Etat c'est qui pour lui? De qu'il a eu vent de cette menace,qu'est-ce qu'il a fait lui comme citoyen connaissant son pays et ses difficultés et faiblesses? c'est bien beau de venir faire le malin sur des situations et se pavaner à paris, quand soi même ne réagit pas concrètement sur les faits,sinon bavarder,bavarder .Cela tout le monde sait le faire. avec des si, bangui serait depuis Dubai.
Que le titre de professeur ne cache la personnalité de la personne. C'est un frustré extravagant,complexé dont ces mathémathiques lui permettent d'exploiter et assouvir sa folie.
Alors que les africains veulent autre chose pour l'afrique,ces attardés et apprentis politiciens qui n'ont rien à voir avec la politique qui implique la direction d'un pays ou ayant une proximité ou humilité face à un peuple pauvre,viennnent polluer cet espace et en appellent encore avec l'extérieur pour ce qui incombe à une Nation. Voila un Nègre type esclave que décrivent certains spécialistes français de la politique africaine qui croient encore que pour accéder au pouvoir,ils le seront par les colons. Avec tout ce savoir exhibé en être encore réduit à cela,montre combien l'instruction aurait servi pour ce clown qui commence à s'y croire; pauvre centrafrique.Le peuple est souverain pour nous vrais intellectuels et jeunes générations. ces tontons has been n'ont qu'à se recycler dans le commerce et developper notre pays . il y a plein à faire dans ce pays,il n' y a pas que la politique. Nous ,on n'a besoin des mandela ,pas des farfelus beni oui oui qui pensent aux peuples que sous déguisement de leurs propres poches. A quand une vraie constitution qui interdirait le financement étranger at qui n'autorise qu'aux gens ayant demeuré au moins 3 à 5 ans dans le pays pour prétendre à quoi que ce soit.Ainsi,tous ces rêveurs coupés de la réalité du peuple qui devient leur réalité que par le discours,le peuple apprendra à les connaitre avant de boire leur paroles.la constitution haitienne ,puisque ce monsieur fait référence au tonton macoute,un pays où il a des ex femmes,est claire sur ce point(voir le cas w cleef jean)
Quelqu'un parlait du cas gouandika qui serait fou mais ce monsieur qu'en faites vous,lui aussi est dans la démesure,un égocentrisme sans pareil et un égo démésuré,qui croit être au dessus de la norme. Qu'il descende un peu sur terre,le peuple centrafricain n'en a cure des excités qui croit l'avoir dans sa poche,parce que certains se croient e^tre sur un pidestal et lui inculte avalant naivement leurs litanies.
Tous ces trous du cul qui voient en la démocratie le ieu de leurs désordre et marché où ils viendront déféquer leurs discours rodés de démagogue dont le seul but est leur ascension au pouvoir ou dans le cercle du pouvoir . Demain,le peuple en sera encore là à peiner. cette envie de démocratie ,ce monsieur ngrékata ne le découvre que maintenat à l'aube de sa retraite? pendant qu'il le fallait,on ne l'entendait pas troop,il se rangeait pour la mangeoire. si les maths doivent conduire à la grossièreté et au ridicule du présent,fallait pas aller si loin avec.
j'espère que ce site opposant va arrêter d'aller à la complaisance car on a tous lu et vu la réaction d'un compatriote qui,pour avoir dit certaines vérités sur certaines personnes qui pensent detenir la vérité sur les autres,,effacée grossièrement.
pourquoi solliciter les gens si le but n'est pas un débat contradictoire.
les centrafricains sont connus pour bouffer à tous les rateliers mais sur ce coup là.... c'est trop nul
quand on dit que l'obsession des hommes de peite taille c'est de grandir,grandir....

 

NDLR: Nous nous sommes déjà exprimés sur les agitations du professeur Nguerekata qui a tenté de faire une  OPA sur le RDC et qui a échoué. Il se rabat maintenant sur fini kodé une organisation qui n'est l'ombre que d'elle même...

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 23:26

 

 

 

Journée décisive pour la paix entre CPJP et UFDR
« Tous les centrafricains et la communauté internationale vous observent pour aller vers une véritable conciliation ». C’est en ces termes que Mgr Paulin Pomodimo, médiateur de la République a ouvert samedi 8 octobre les négociations entre les leaders des deux ex rebellions en conflits en Centrafrique. Il s’agit de la Convention des patriotes pour la justice et la paix (CPJP) et de l’Union des forces républicaines pour la démocratie (UFDR).

 

Les affrontements enregistrés récemment entre ces deux groupes, notamment dans la ville de Bria, ont fait, selon plusieurs sources concordantes près de 50 morts. Ils ont également provoqué un déplacement massif des populations.

Les chefs de ces deux rebellions, Zakaria Damane de l’UFDR et Abdoulaye Hissen de la CPJP sont arrivés à Bangui depuis 48 heures, sur invitation des membres de ce comité.

Les négociations sont prévues pour durer toute la journée de ce samedi 8 octobre. Elles portent essentiellement sur l’arrêt définitif des combats à Bria et dans la région, et sur les voies et moyens d’une relance du dialogue entre les partis en conflits. Un mécanisme de vérification de cessez le feu devra également être mis en place.

A l’ouverture des travaux, les représentants de l’Union Africaine et du Binuca (Bureau Intégré des Nations Unies en Centrafrique) ont mis un accent particulier sur la recherche de la paix dans les localités concernées par cette crise et particulièrement dans la ville de Bria.

Tous ont réitéré la disponibilité de leurs institutions respectives pour accompagner toujours le processus de paix en Centrafrique. Ainsi, « il est important que les deux factions rebelles acceptent la cessation des hostilités pour favoriser la croissance économique des régions concernées », a notamment déclaré la représentante du Binuca.

Pour sa part le Ministre en Charge du DDR le Général Xavier sylvestre Yangongo a rappelé que les deux groupes ont signé un accord de cessation des hostilités avec Bangui, donc « il est de leur devoir de respecter les closes de cet accord ».

Il faut rappeler que le 11 septembre 2011, de violents et meurtriers affrontements avaient opposé les éléments de l’UFDR et ceux de la CPJP dans la ville minière de Bria au centre du pays. Un cinquantaine de personnes ont perdu la vie à l’issue des combats. On dénombre à ce jour plus de 5000 personnes déplacées et des dizaines de maisons incendiées dans les localités du quartier Bornou où s’étaient concentrés les combats. Une rivalité entre les ethnies Goula et Rounga, les deux responsables des deux rebellions seraient à l’origine des incidents.

Le comité de conciliation est mis en place lundi 3 octobre par le Médiateur de la République, comprend les Ministères de l’administration du territoire, de la défense, du DDR, de la communication, du Bureau Intégré des Nations Unies en Centrafrique, de la Micopax et de l’attaché militaire de l’ambassade du Tchad en République Centrafricaine.

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 23:22

 

Vendredi, 07 Octobre 2011 14:26           

 

Nouvel épisode dans la bataille psychologique que se livrent les milieux algériens et centrafricains du football. Le sélectionneur national de la RCA, Jules Accorsi, est très remonté contre les responsables algériens à cause de la perte d'un colis contenant les ballons devant leur servir pour préparer leur match face aux Fennecs, dimanche 9 octobre, pour le compte des derniers matches de poule en vue de la qualification à la CAN 2012.

Le coach Français aurait demandé à la Fédération Algérienne de leur prêter des ballons, mais sa requête est restée sans réponse. « À notre arrivée lundi soir, nous avons eu la désagréable surprise d’avoir un colis manquant, celui qui contenait tout le matériel de travail. Nous avons demandé à la Fédération algérienne de football de nous prêter 20 ballons pour pouvoir travailler. On nous a dit oui, mais en vain. Nous n’avons toujours pas les ballons ! Hier matin et ce matin, nous nous sommes entraînés avec 2 ballons que nous avons achetés. 2 ballons seulement pour une équipe nationale ! Ce n’est pas sérieux de la part de la Fédération algérienne de football ! Je ne m’attendais pas à ça de sa part. Je trouve que c’est un scandale ! » A-t-il indiqué.

Pour rappel, à Bangui, les Fennecs s'étaient plaint des conditions d’hébergement déplorables et des incidents qui avaient accompagné leur défaite (2-0) face aux Fauves. Signalons que la délégation centrafricaine est arrivée lundi et restera jusqu’au lendemain du match.

Les Fauves sont arrivés tôt à Alger pour s’adapter au climat et à l’environnement. Pas évident avec deux Ballons...

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 22:39

Fidèle NGouandjika

 

Maléyombo

 

 

Bangui, 13 sept (C.A.P) - En dépit de leurs multiples et réguliers démentis, le truculent ministre de l'Agriculture et ancien Porte-Parole du gouvernement, le polytechnicien de Roumanie et PDG du groupe MGF, Fidèle GOUANDJIKA et l'ancien ministre des Télécommunications Thierry MALEYOMBO qui ont été entendu ces dernières semaines par la gendarmerie dans le cadre de leur catastrophique gestion respective du secteur des télécommunications, ont finalement été bel etbien inculpés ce jour pour détournement, trafic d'influence et recel et laissés en liberté provisoire mais dépossédés de leurs passeports donc interdiction de quitter le territoire national, apprend -t-on de source judiciaire à Bangui.

 

Toujours selon nos informations, le ministre Fidèle Gouandjika aurait pris un sacré coup au moral avec son inculpation et aurait songé à poser immédiatement sa démission du gouvernement mais on lui aurait conseillé d'attendre plutôt d'être viré par ceux-là mêmes qui l'ont nommé. En principe et en tout état de cause un ministre inculpé par la justice doit quitter le gouvernement. Le Premier Ministre Faustin Touadéra et Bozizé doivent prendre de ce point de vue leur responsabilité jusqu'au bout.

Depuis que l'étau judiciaire a commencé à se resserer autour de Gouandjika, il aurait déjà perdu une dizaine de kilogrammes selon une source bien informée proche du milliardaire de Boy-Rabe qui doit maintenant rire jaune.

 

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 22:32

septembre 2011314/09/Sep/201101:11

 

 

Desire-Kolingba.JPG

 

Bangui, 14 sept (C.A.P) – Alors que son suppléant aux législatives partielles du 4 septembre dernier et quelques-uns de ses partisans qui ont été interpellés lors d’une manifestation de contestation des résultats de ces partielles du 5ème arrondissement de Bangui sont toujours détenus à la section recherche et investigation (SRI) de la gendarmerie, Désiré Zanga Kolingba l’ancien ministre et fils aîné de feu général André Kolingba serait arrivé à Brazzaville selon des informations proche de son entourage circulant à Bangui.

Certains journaux de Bangui avaient fait état ces derniers jours de ce que suite à la manifestation de ses partisans visant à contester les résultats des partielles du 5ème arrondissement qui avaient donné Mme Francine Dérant Lakoué devant le candidat Désiré Kolingba, des gendarmes se seraient pointés au domicile de l’ancien ministre pour l’arrêter mais celui-ci était absent. Depuis, ses proches étaient demeurés plusieurs durant sans ses nouvelles.

Quelques semaines auparavant, Désiré Kolingba avait été déjà entendu à la SRI dans le cadre de l’enquête judiciaire ouverte sur la disparition de la somme de 20 millions de F CFA sur les 100 millions décaissés par le trésor public pour le règlement de la facture des prestations de la société REGICA de Cyriaque Dussey lors des cérémonies du Cinquantenaire de décembre 2010. REGICA qui réclame le remboursement de son dû accuse l’ancien ministre Simplice Zingas d’avoir ponctionné la somme de 20 millions de F CFA. D’aucuns à Bangui pensent que cet argent a certes été piqué par Zingas mais ce dernier a dû vraisemblablement partager cela avec les anciens ministres Abdallah Kadre et Désiré Kolingba, tous appartenant au tristement célèbre « clan du Darfour » spécialisé dans la prédation financière du trésor public.

Centrafrique-Presse et certains organes de presse de Bangui avaient publié la copie de la lettre adressée en son temps par le président de la commission nationale des fêtes que fut Désiré Kolingba à son collègue délégué aux finances Abdallah Kadre pour l’inciter à faire diligence dans le décaissement des 100 millions de F CFA représentant le montant de la facture à régler à REGICA. Cela fut fait mais au lieu d’un virement bancaire sur le compte de REGICA, c’est plutôt en espèces sonnantes et trébuchantes que ce pactole a circulé de main à main et c’est au finish Zingas qui a déchargé l’enveloppe de 80 millions de F CFA à Mme Dussey.

Tous les protagonistes de cette affaire ont été entendus dans le cadre de l’enquête judiciaire qui a été ouverte après une première audition de Dussey et Zingas par le Médiateur de la République Mgr Paulin Pomodimo sur instruction de Bozizé en personne.

Après son départ du gouvernement en avril dernier, on prêtait à Désiré Kolingba l’intention de solliciter à Bozizé d’être nommé comme ambassadeur de Centrafrique à Paris mais il n’a pu depuis, être reçu par Bozizé qui pour ce poste, continue d’hésiter entre plusieurs personnes dont les noms changent selon les révélations de Centrafrique-Presse. C’est ainsi qu’après Ambroisine Kpongo, le nom d’Elie Ouéfio, secrétaire général à la présidence et du KNK a été écarté. Entre temps on a prêté à Bozizé de penser fortement à Parfait Anicet Mbay mais celui-ci traîne quelques casseroles qui pourraient aussi donner lieu à des ennuis judiciaires donc son éventuelle demande d’agrément pourrait bien être rejetée par Paris.

Désiré Kolingba connaît bien Brazzaville pour y avoir déjà trouvé refuge après le coup d’Etat manqué du 28 mai 2001 de son défunt père. Il y serait même retourné récemment pour obtenir de quoi assurer sa campagne électorale pour les récentes partielles. Si sa présence de nouveau à Brazzaville se confirme et s’explique pour des raisons politiques et découle d’une fuite délibérée de Bangui pour se mettre à l’abri au Congo, cela aurait des conséquences politiques sérieuses pour le régime de Bangui même si beaucoup considèrent à Bangui que le fils aîné de Feu général AndréKolingba paye ainsi quelque part, son aveugle soutien à Bozizé.

Partager cet article
Repost0
10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 11:40

 

 

Flash urgent

 

 

logo MLPC

 

 

 

 

Bangui, 10 sept (C.A.P) - Encore une fois, le de François Bozizé vient de faire la démonstration qu’il est bel et bien un pouvoir dictatorial et sanguinaire, peu soucieux du respect de la Constitution de la République centrafricaine qui garantit pourtant à tous les citoyens les libertés d’expression, d’opinion et de réunion.

En effet, le parti MLPC devait effectuer sa rentrée politique ce samedi 10 septembre sur le terrain qui lui appartient où devrait être construit son futur siège et appelé Place Marabéna. Il y a trois jours, le président du MLPC Martin Ziguélé avait été convoqué à une rencontre avec le ministre de la Justice Garde des Sceaux le demi-dieu Firmin Feindiro au cabinet du ministre Josué Binoua de l’Administration du territoire pour se voir signifier le refus du gouvernement d’autoriser le MLPC à effectuer sa rentrée politique dans un endroit autre qu’une enceinte close, décision jugée inacceptable par le MLPC qui a tenu à la place Marabéna.

Très tôt ce matin, le ministre de la justice Firmin Feindiro s’est pointé à l’antenne de la radio nationale pour interdire la réunion du MLPC prétextant des menaces de troubles à l’ordre public et à la nécessité de préserver la paix sociale à laquelle le président Bozizé tiendrait beaucoup ainsi de suite. C’est ainsi qu’également très tôt, les forces de police et la gendarmerie et la garde présidentielle ont été déployées place Marabéna et les banderoles et affiches du MLPC ont été purement et simplement arrachées.

On se souviendra que le 27 août dernier, un meeting du FARE 2011 et de l’opposition qui devrait se tenir sur cette même place Marabéna avait été saboté par d’inadmissibles actes de violence commandités par certains caciques du KNK et accomplis par des jeunes drogués et enivrés de Boy-Rabe recrutés pour cette sale besogne. Ceux-ci ont jeté des cocktails Molotov et caillassé des voitures de certains responsables de l’opposition présents sur les lieux et blessant même quelques-uns.

C’est la preuve que le pouvoir du président Bozizé a une peur bleue que les Centrafricains puissent prendre la parole pour dénoncer la prédation, la corruption de ce régime désormais au bout du rouleau et exprimer ouvertement et publiquement les causes de la mauvaise gouvernance qui a plongé leur pays dans une pauvreté et une misère sans nom. Un régime qui a si peur que l’opposition prenne la parole est un pouvoir dont les jours sont dorénavant comptés car appelé à disparaître très bientôt.

 

 

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 21:59

 

 

RCA/MAROC, match nul
Zéro but partout. C’est le score du match disputé ce dimanche 4 septembre 2011, à Bangui entre les fauves de Bas-Oubangui de football et les Lions de l’ATLAS du Maroc. La rencontre s’est déroulée au complexe sportif Barthélémy BOGANDA. Un stade plein à craquer avec de pelouses très glissantes suite à la pluie diluvienne qui s’est abattue toute la journée sur Bangui, la capitale. Des supporters, drapeaux en mains, tee-shirts à l’effigie des fauves sont restés debout pour encourager les fauves.

 

Pour faire face à la dernière menace proférée à l’endroit de la RCA par la CAF, les dirigeant du ballon rond ont tout fait pour éviter qu’il ait des militaires en arme autour du terrain. La CAF avait menacé de suspendre le Complexe sportif Barthélemy Boganda et d'infliger une amende en cas de débordements lors de ce match RCA/Maroc.

Les fauves ont fait une très bonne entrée dès les 2 premières minutes avec le trio Momi, Mabidé et Kétévoama. Des occasions de but manqués.

A la 12ème minute, le portier des fauves Géoffroy Lémbé a failli encaisser un but échoué sur la barre transversale. Il a arrêté plusieurs occasions marocaines. Les Marocains ont de ce fait dominé les 30 premières minutes.

Salif Kéïta a pris un carton jaune à la 26ème minute.

Hilaire Momi, meilleur butteur des fauves a failli marquer le 1er but à la 35ème minute. Il a réussi à dribler 3 défenseurs marocains et a perdu son ballon face au gardien de l’équipe adverse.

Les fauves ont tenté de se réorganiser vers la fin de la première partie avec des percées non concrétisées. Salif Kéïta, Hilaire Momi, Charlie Dopékouliyenne, Manga et bien d’autres attaquants se sont réveillés, mais n’ont pas donné grand-chose.

Les 2 équipes se sont séparées sur un score de zéro but partout à la première partie.

Mabidé et Léngbé ont écopé d’un carton jaune chacun à la 8ème minute de la deuxième partie. Ces fauves ont sorti leurs griffes à la 15ème minute avec la perte d’une occasion en or. C’est finalement Dopékouléyenne qui tiré en l’air une passe décisive réalisée par Kétévoama à moins de 10 mètres de la cage marocaine. De toutes les belles occasions enregistrées dans les 20 premières minutes de la seconde partie, les centrafricains n’ont pas de finisseurs pour concrétiser les actions.

La partie est restée serrée avec une pression centrafricaine accompagnée de rapidité, vers la fin de la seconde mi-temps. Plus de 5 minutes, les fauves ont empêché leurs adversaires à franchir leur camp.

Suspens donc. Les supporters ont espéré une victoire avec le dernier corner en faveur des fauves à 43ème minute. Mais le résultat n’a rien donné.

La RCA et le Maroc sont co-leaders du groupe D, avec 8 points, mais avec un meilleur goal-average en faveur des Lions de l’Atlas. La Tanzanie dévance l’Algérie avec 3 points de plus. Ils avaient 4 points chacun.

Il est à noter que les fauves n’ont pas bénéficié de bonnes préparations pour cette rencontre contrairement à leurs adversaires. Les poulains de Jules Accorsi sélectionnés au nombre de 22 dont 17 internationaux ont tenté de prouver leurs talents.

Ce match a été pour eux une phase décisive. Elle a été qualifiée par le capitaine des fauves comme une finale de la coupe du monde. Ces derniers devraient être qualifiés pour la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN-2012), prévue en Guinée Equatoriale et au Gabon.

Les fauves attendent désormais leur prochaine rencontre retour contre l’Algérie, à Alger. En match aller, le 10 octobre 2010 à Bangui, l’équipe centrafricaine avait battu la formation algérienne sur un score de 2 buts à zéro.

Partager cet article
Repost0

Recherche