Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 00:20
APPEL A MANIFESTATION

DEVANT LES AMBASSADES DU TCHAD DANS TOUS LES PAYS ET GRANDES NATIONS DEMOCRATIQUES DU MONDE ENTIER 

Pour le RETRAIT du CONTINGENT TCHADIEN des troupes de paix de la FOMAC et des MERCENAIRES TCHADIENS du TERRITOIRE CENTRAFRICAIN

Nous, Réseau des Femmes en Action pour le Développement, le REFAD, et le Comité d’Action pour la Conquête de la Démocratie en Centrafrique (CACDCA),

En partenariat avec le Conseil des Centrafricains de l'Etranger, 

Considérant notre hymne national, affirmation de notre souveraineté et de notre identité nationale, qui proclame notre indépendance perpétuelle :

Ô Centrafrique, Ô berceau des Bantous !
Reprends ton droit au respect, à la vie !
Longtemps soumis, longtemps brimé par tous,
Mais de ce jour brisant la tyrannie.

Depuis le 10 décembre 2012, date du début d'occupation de notre pays par la rébellion SELEKA, jusqu'au coup d'Etat du 24 mars 2013, toutes les 16 préfectures que compte la République Centrafricaine y compris Bangui la capitale sont affectes par des violations massives, programmées, répétées, assumées sur la population civile: Viols, vols, enlèvements des éléments des forces de défense nationale, les FACA, pillages systématiques des villages, villes, destruction des biens publics et privés des églises, des entreprises, attaques des missions humanitaires, recrutement et enrôlement de force des enfants soldats, menaces sur des agents des douanes et des impôts par la SELEKA, privant ainsi l 'Etat des ressources nécessaires à son fonctionnement, menaces contre les Magistrats, les Avocats et Journalistes dans l’ 'exercice de leur mission au service de notre pays.

Face à ces actes graves et imprescriptibles qui ne manqueront pas de conduire leurs auteurs devant la Justice Centrafricaine quand elle sera rétablie et la Justice Internationale dans les semaines à venir, nous Réseau des Femmes en Actions pour le Développement, le REFAD, le Comité d’Action pour la Conquête de la Démocratie en Centrafrique (CACDCA), toutes les Associations centrafricaines de l'Etranger, les organisations non gouvernementales, les organisations des droits de l'homme, les forces démocratiques internationales, les citoyens du monde et personnalités mobilisées pour les droits de l’homme et la justice dans le monde, appelons à manifester le lundi 16 septembre 2013 à 11h Précises devant l'Ambassade du Tchad à Paris, située au 65, Rue des Belles Fleures 75116 Paris, Métro Porte Dauphine et Victor Hugo, ainsi que devant chaque Ambassade du Tchad dans tous les pays du monde, pour demander publiquement, prenant toute la communauté diplomatique mondiale, la communauté internationale dans son ensemble, l'opinion publique internationale, à témoins, le retrait pure et simple des troupes TCHADIENNES de la FOMAC ainsi que les MERCENAIRES TCHADIENS du TERRITOIRE CENTRAFRICAIN. 

Le peuple centrafricain de l’intérieur du pays, l’ensemble des Centrafricains de l'étranger, les amis du peuple centrafricain à travers le monde réclament leur départ immédiat et sans conditions afin d’arrêter la déstabilisation irréversible et totale de toute l’Afrique Centrale, de la zone CEMAC et de la CEEAC.

Toutes les associations et organisations centrafricaines et autres qui souhaitent joindre leur nom à cette manifestation sont priées de contacter :

1°) La Présidente du RFEFAD: reseau.refad@yahoo.fr - 07.62.31.59.70 

2°) Le Conseil des Centrafricains de l’Etranger, le CCE : secretariatcce@yahoo.fr - Tél. : 01.60.94.72.94

3°) La Présidente de l’Association PARFUMS D’AFRIQUE, Marie Christine BISSENGUE : Mob. : 06.73.61.59.82

4°) Le Comité d’Action pour la Conquête de la Démocratie en Centrafrique (CACDCA) :
LOUBANGUI Fred: fredloubangui@yahoo.fr – Mob. : 0685696771
MACKANAMO Brice: mackanamobrice@yahoo.fr – Mob. : 0650850115
PASSEMA ENDJIAGO: cacdca@hotmail.com – 0685656119
Photo : APPEL A MANIFESTATION DEVANT LES AMBASSADES DU TCHAD DANS TOUS LES PAYS ET GRANDES NATIONS DEMOCRATIQUES DU MONDE ENTIER Pour le RETRAIT du CONTINGENT TCHADIEN des troupes de paix de la FOMAC et des MERCENAIRES TCHADIENS du TERRITOIRE CENTRAFRICAIN Nous, Réseau des Femmes en Action pour le Développement, le REFAD, et le Comité d’Action pour la Conquête de la Démocratie en Centrafrique (CACDCA), En partenariat avec le Conseil des Centrafricains de l'Etranger, Considérant notre hymne national, affirmation de notre souveraineté et de notre identité nationale, qui proclame notre indépendance perpétuelle : Ô Centrafrique, Ô berceau des Bantous ! Reprends ton droit au respect, à la vie ! Longtemps soumis, longtemps brimé par tous, Mais de ce jour brisant la tyrannie. Depuis le 10 décembre 2012, date du début d'occupation de notre pays par la rébellion SELEKA, jusqu'au coup d'Etat du 24 mars 2013, toutes les 16 préfectures que compte la République Centrafricaine y compris Bangui la capitale sont affectes par des violations massives, programmées, répétées, assumées sur la population civile: Viols, vols, enlèvements des éléments des forces de défense nationale, les FACA, pillages systématiques des villages, villes, destruction des biens publics et privés des églises, des entreprises, attaques des missions humanitaires, recrutement et enrôlement de force des enfants soldats, menaces sur des agents des douanes et des impôts par la SELEKA, privant ainsi l 'Etat des ressources nécessaires à son fonctionnement, menaces contre les Magistrats, les Avocats et Journalistes dans l’ 'exercice de leur mission au service de notre pays. Face à ces actes graves et imprescriptibles qui ne manqueront pas de conduire leurs auteurs devant la Justice Centrafricaine quand elle sera rétablie et la Justice Internationale dans les semaines à venir, nous Réseau des Femmes en Actions pour le Développement, le REFAD, le Comité d’Action pour la Conquête de la Démocratie en Centrafrique (CACDCA), toutes les Associations centrafricaines de l'Etranger, les organisations non gouvernementales, les organisations des droits de l'homme, les forces démocratiques internationales, les citoyens du monde et personnalités mobilisées pour les droits de l’homme et la justice dans le monde, appelons à manifester le lundi 16 septembre 2013 à 11h Précises devant l'Ambassade du Tchad à Paris, située au 65, Rue des Belles Fleures 75116 Paris, Métro Porte Dauphine et Victor Hugo, ainsi que devant chaque Ambassade du Tchad dans tous les pays du monde, pour demander publiquement, prenant toute la communauté diplomatique mondiale, la communauté internationale dans son ensemble, l'opinion publique internationale, à témoins, le retrait pure et simple des troupes TCHADIENNES de la FOMAC ainsi que les MERCENAIRES TCHADIENS du TERRITOIRE CENTRAFRICAIN. Le peuple centrafricain de l’intérieur du pays, l’ensemble des Centrafricains de l'étranger, les amis du peuple centrafricain à travers le monde réclament leur départ immédiat et sans conditions afin d’arrêter la déstabilisation irréversible et totale de toute l’Afrique Centrale, de la zone CEMAC et de la CEEAC. Toutes les associations et organisations centrafricaines et autres qui souhaitent joindre leur nom à cette manifestation sont priées de contacter : 1°) La Présidente du RFEFAD: reseau.refad@yahoo.fr - 07.62.31.59.70 2°) Le Conseil des Centrafricains de l’Etranger, le CCE : secretariatcce@yahoo.fr - Tél. : 01.60.94.72.94 3°) La Présidente de l’Association PARFUMS D’AFRIQUE, Marie Christine BISSENGUE : Mob. : 06.73.61.59.82 4°) Le Comité d’Action pour la Conquête de la Démocratie en Centrafrique (CACDCA) : LOUBANGUI Fred: fredloubangui@yahoo.fr – Mob. : 0685696771 MACKANAMO Brice: mackanamobrice@yahoo.fr – Mob. : 0650850115 PASSEMA ENDJIAGO: cacdca@hotmail.com – 0685656119
J’aime ·  · 
Partager cet article
Repost0
29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 00:08

Pacôme PABANDJI à Bangui pour LNC

BANGUI (LNC) — La nouvelle est tombée il y a peu, l’aéroport international de Bangui est fermé aux vols jusqu’à nouvel. 
De source proche de l’ambassade de France en Centrafrique, cette décision survient après l’envahissement du tarmac de l’aéroport et des manifestations des déplacés du quartier Boeing devant la troupe française demandant leur intervention.
Le vol Air France de demain reste incertain selon notre source.
D’ores et déjà, le vol de Royal Air Maroc a été détourné sur un autre territoire.
Le ministre Binoua contacté par LNC, a annoncé que des mesures sont prises pour calmer la situation.
Il a aussi précisé que seules la police et la gendarmerie sont désormais habilitées a intervenir en cas de problèmes.

Partager cet article
Repost0
28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 22:35

COMMUNIQUE  DES CENTRAFRICAINS DE BOEING

aeoroport

URGENT URGENT URGENT!!!
IL EST DEMANDE AUX HABITANTS DE TOUS LES QUARTIERS DE BANGUI DE SE JOINDRE A NOUS SUR LA PISTE DE L’AÉROPORT POUR LE GRAND MOUVEMENT POPULAIRE QUI EST EN MARCHE AFIN DE METTRE FIN A LA BARBARIE SELEKA.

Centrafricaines, Centrafricains, dignes leaders de Boyrabe , de Ouango, Gbangouma, Kassaï, Pétévo, 92logements, Pk 12, Bimbo, Guitangola, Fatima, Kina, Malimaka, Dédéngué 5, 200villas, 36 villas, Cité Makpayen…, le moment est venu pour que justice te soit rendue. Que tu sois à table, que tu sois au lit en train de faire l’amour, que tu sois au travail, que tu sois à l’église en train de prier, que tu sois actuellement à la place mortuaire d’un compatriote assassiné dernièrement par la séléka, diriges toi courageusement à l’aéroport Bangui M’pocko, nous rejoindre pour une marche pacifique de la libération de ton pays occupé par des étrangers Tchado- Soudanais, grâce à la complicité de tes compatriotes égoïstes, situationnistes, faux bourgeois, voleurs qualifiés qui ne pensent qu’à leur ventre.

Si Bozizéa mis en vente ton pays aux enchères, ceux qui le dirigent aujourd’hui l’ont pratiquement bradé au prix d’ un enrichissement illicite, oubliant qu’il y a encore aujourd’hui dans ton pays des femmes enceintes. Que feront ces enfants demain, quand ils seront nés? Ton pays est appelé à disparaître si tu ne fais rien. Les Soudanais et les Tchadiens continuent d’occuper la partie Nord Est de ton pays mettant au passage la main mise sur les richesses de ton territoire.

Un des traitres, Christophe Gazambeti qui errait en France, vient d’acquérir une maison à Meaux en région parisienne grâce aux transactions liées à la vente des diamants de ton pays pour le compte de ces islamistes. La France vient de se réveiller et elle est actuellement à tes côtés sur cette piste, viens nous rejoindre pour que nous retrouvions notre salut.

La patrie ou la mort, nous vaincrons

Partager cet article
Repost0
28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 19:44

LA FIN DU REGNE DE NOUREDINE ADAM ET DE LA SELEKA SE PRECISE

image de la foule

« Je considère votre acte comme un coup d’État. nous avons pris ce pays dans le sang » dixitNouredine Adam ex ministre d’État à la sécurité devenu depuis peu responsable des renseignements généraux, aux populations Centrafricaines qui campent depuis hier soir sur le tarmac de l’aéroport Bangui M’Poko.

Voilà le véritable patron de la Séléka et responsable des pertes des biens des Centrafricains qui dépassent de loin le milliard de FCFA, et des dizaines de milliers de morts. Cette déclaration  Nouredinièneconfirme qu’il a bien plus de troupes que ses collègues, les chefs decette nébuleuse faction armée .  Il était venu faire la guerre à ce peuple pauvre et complètement démuni.

Heureusement que la France a décidé de veiller sinon la République Centrafricaine allait être victime d’un génocide jamais égalé dans le monde. Les soldats français l’ont prié de partir et de  les laisser dialoguer avec la population.

Aux dernières nouvelles au moins plus de cinq cent (500) éléments de la police constituée de la MISCA sont à l’aéroport afin de négocier avec les populations. L’entrée de ce lieu est systématiquement interdite aux sélékas et leurs véhicules.

Même les véhicules de l’ASECNA et de la MISCA subissent un contrôle avant d’entrer  dans le périmètre mis en place par l’armée Française. L’accès est interdit également au public. Une foule de personnes à l’entrée de l’aéroport est tenue en respect par les éléments français.

Il y a de plus en plus de monde sur la piste , ce qui fait penser que les Centrafricains ont entendu les appels de leurs frères et sœurs de Boeing. Le DG de l’ANAC, Eric Massi est sur les lieux, mais n’arrive pas à convaincre la population à libérer la piste. Les forces françaises ainsi que les policiers de l’UPC du Congo ont établi un cordon de sécurité mais aucune solution pour l’heure n’a été  trouvée.
Me Tiangaye le PM transparent et faible a,  à travers cet épisode l’occasion d’ordonner l’arrestation de Nouredine, ce Centrafricain musulman qui a continué à recruter des soudanais et des Tchadiens dans l’armée Centrafricaine jusqu’au dernier jour de son limogeage.

Le pauvre Djotodia qui n’a aucune autorité sur ce dernier mais qui par contre a été sur les bancs de l’université, même s’il est devenu sanguinaire pour une cause qui n’est plus un secret de polichinelle,  n’a plus d’autres choix que d’arrêter son mentor formé de toutes pièces parIdriss Déby, comme il l’a fait pour Daffhane.

Nouredine qui n’a rien dans les méninges pensait sans doute qu’en détruisant les archives municipales, il allait introduire une forte dose de ses cousins germains soudano- Tchadiens au sein de la population Centrafricaine, c’est maintenant une peine perdue.
Le président du CNT M. Nguéndet qui est issu de la classe populaire a l’obligation de pousser ses collègues à interpeller tous les responsables du secteur de la sécurité qui ont failli, faute de quoi, il restera responsable devant l’histoire d’une assemblée qui ne s’est pas opposée à un massacre planifié. Nous sommes en Centrafrique, le pays de tous les paradoxes.

Wilfried Maurice SEBIRO

Partager cet article
Repost0
28 août 2013 3 28 /08 /août /2013 12:27

FLASH INFO : LES BOEINGUISSOIS OCCUPENT LE TARMAC DE L’ AEOROPORT DE BANGUI M ‘ POCKO, LE DEBUT DE LA FIN DU REGNE DE LA SELEKA ET DE TIANGAYE?

Wilfried Maurice SEBIRO Journaliste fondateur et Directeur de Publication de Centrafrique Libre

 Les populations de Boeing, de combattant et des alentours ont élu domicile sur la piste de l’aéroport Bangui M’pocko depuis hier aux environs de 21h00. Cette occupation fait suite à l’envahissement et l’encerclement de leurs quartiers par les assassins de la Séléka. Ce matin, Tous les mouvements aériens sont suspendus sur cette frontière aérienne entre l’occident et la RCA. Cet incident a fait détourner vers une autre destination le cargo d’Air France et un avion de la compagnie Royal Air Maroc qui s’apprêtaient à atterrir.

Les agents de l’ASECNA, se sont transformés en agents humanitaires en distribuant du pain aux victimes dont un nombre important sont des femmes et des enfants.

La population de Boeing sévèrement punie il y a quelques jours en marges des tueries de Boyrabe  est majoritaire en ce lieu, pour fuir de nouvelles représailles de ces « s’en-fout » la mort.

Heureusement que cet endroit est protégé par les soldats français qui ont tout de suite pris des dispositions pour les mettre hors d’état de nuire en y installant un périmètre de sécurité infranchissable.

Cette soif de la terreur met en cause  « les accords de Libreville » et le FARE  dont est issu le premier ministre, l’inactif Tiangaye et de nombreux membres du gouvernement dont Mboli-Goumba qui est devenu officiellement Séléka, Pouzère qui a disparu, Béndounga qui critique la Séléka en restant au gouvernement , au lieu de démissionner,Loudégué du MLPC, ministre de l’éducation nationale  qu’on a pas entendu après la mort des futurs bacheliers…

Les habitants de Boeing de Boyrabe et de Combattant sont en train de montrer la bonne voix: LA LIBÉRATION, qui ne s’obtiendra que par une résistance populaire. Aux autres quartiers qui attendent les pyromanes Tchadiens, l’heure est peut être venue de rejoindre l’aéroport Bangui M’pocko pour qu’ensemble, les Centrafricains puissent marcher sur Bangui avec des feuilles de manguier à la main et ce dès demain. Nous sommes en Centrafrique le pays de tous les paradoxes.

Maurice Wilfried SEBIRO

Partager cet article
Repost0
27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 19:59

01er decembre 2010 cinquantenaire

 

Par Aline M’pangba-Yamara 
Rédactrice en chef

Plus de 1 million de morts dans le conflit inter congolais en RDC, la chose ne passionne personne.
Et ce n’est pas fini.
Depuis 1960, le Congo ou Zaïre du temps de Mobutu n’a jamais su trouver un équilibre républicain.
Aujourd’hui, dans les pieds du président mis en place Kabila, venant à la suite de son père putschiste, il y’a le M23.

Et la rébellion du M23 n’est pas à négliger.
En quoi serait-elle plus illégitime que celle de l’agression en RDC de Kabila père ?
D’ailleurs actuellement les forces de l’ONU ont toutes lesd difficultés à les juguler.

En passant, en Afrique, qui peut nous dire quel conflit l’ONU a contribué à juguler ?
Les forces de l’ONU en Afrique n’ont jamais rien résolu en Afrique depuis 54 ans.
Au Congo, ce fut une catastrophe, car, il faut le savoir, quand l’ONU est quelque part, c’est les USA agissantes.
Où se trouve le siège de l’ONU au fait ?

Qui a tué Patrice Lumumba si ce n’est les USA avec la complicité des belges ?

Aujourd’hui, dans la détresse, les centrafricains en sont réduit à réclamer l’intervention de l’ONU dans le pays.
Mais ce serait mettre le diable dans la tanière.
Qu’est-ce que l’ONU ?
Juste une structure inventée par les pays occidentaux pour mettre la planète au pas.
Les africains ont-ils la voix à l’ONU ?
Seuls 5 pays, et les plus grands fournisseurs d’armes dans le monde y décident, avec droit de vote de blocage.

Depuis plus de 50 ans, Israël tue librement des palestiniens sur leurs propres terres qu’elle a colonisées, l’ONU en parle ?
Les USA avec droit de blocage empêchent toute espèce de sanction contre Israël.

Parlons un peu de la CPI, encore une invention des Nations Unis.
Les USA et d’autres comme la Chine n’y sont pas.
Dès lors, quelle est cette justice qui ne peut pas interpeller tous les contrevenants ?
Bush fils, ex président des USA qui a agressé l’IRAK à l’encontre de tous les accords internationaux y est-il ?
L’ONU, très honteusement, a validé à posteriori l’agression américaine en Irak.
Validant du coup, ce que l’Irak fit elle-même en attaquant le Koweït, quelques années avant, lui valant la première intervention onusienne dans le pays.
L’IRAK avait-il tort ?
Le Koweït est une invention des Anglais.
Le territoire appartenait bien à l’Irak.

Et quasiment près de de 18 ans plus tard, l’IRAK est comme le disait Bush, libre et démocratique ?
C’est le bordel plus que jamais.

LA PAX AMERICANA C’est de la blague.

Et on peut rire.
Ce seraient les USA, ce pays né et construit sur le génocide des indiens autochtones qui apprendrait au monde la démocratie ?
La blague oui !

Parlons Centrafrique
En Mai dernier, je m’en souviens, je lisais ceci : ” Les églises et la société civile refusent de participer au Conseil supérieur de transition.”
Mais que viennent faire des religieux dans la politique ?
La Centrafrique serait-elle virée religieuse à l’égale de l’Iran ou de l’Arabie saoudite ?

Le désormais incontournable Mgr. Dieudonné Nzapalainga ne cesse de surfer sur du facile, au point de récemment de franchir la ligne rouge, affichant plus que très clairement ses ambitions politiques.

Le souci, c’est que en Centrafrique, on confond tout.
Dieu par ici, Dieu par là, au point de voir le président de transition jurer lors de sa prestation de serment jurer au nom de DIEU, ou même de lire le PM Nicolas Tiangaye achever sa réaction minimale sur les évènements de Boy-Rabe par un ‘Que Dieu bénisse la République Centrafricaine.”

MAIS….
LE CENTRAFRIQUE EST DEVENUE UNE REPUBLIQUE RELIGIEUSE

C’est écrit très clairement dans la Charte du CNT. Le nom de DIEU a droit de citer.
La Constitution de 2004 prônant la laïcité, c’est fini.

En vérité, tout cela ne relève que d’une médiocrité intellectuelle.
Qui s’est opposé à une telle dérive ?
Martin Ziguélé, lui le socialiste s’y est-il opposé ?
On ne l’a même pas entendu sur le sujet.
Et les autres, ils sont où ?

Le Centrafrique depuis 1960 n’est qu’un pays mendiant, ne s’en rendant pour sa survie qu’à la générosité de la communauté internationale.
Il n’existe pas à ce jour un politicien centrafricain mettant en place un vrai projet de développement du pays.
A l’instar d’Olivier Gabirault, tout ce qu’ils savent faire, c’est de faire du bruit, étant bien au chaud en Europe.
Car aimant tellement leur pays que tous ont la double nationalité.
Les politiciens centrafricains sont français avant d’être centrafricains.
A savoir….
Ca ne va pas au pays, ils fuient tous en FRANCE.

A partir de là, quel crédit accorder à ces incertains ?

Comme LNC l’a dit, Djotodia ne cesse de voyager, seulement pour donner une légitimité à son pouvoir.
En même temps, pourquoi autant le stigmatiser ?

Comment Bozizé est-il arrivé au pouvoir ?
Deux élections présidentielles plus tard, deux élections volées.

Pour cela que ni Bozizé et ni Djotodia ne sont crédibles.
Et que fut le KNK ?
Juste une mafia de gestion familiale de la RCA.
Le parti aujourd’hui, à l’instar de Lévi Yakité tente de se donner une image plus démocratique, mais c’est trop tard.

La prison de Bossembélé de Bozizé n’est pas une fiction, bien une réalité.
A l’instar du Guantánamo de Bush fils et père.
A François Bozizé de s’en justifier.

En Centrafrique, on tue tous les jours en toute impunité, des chefs de guerre imposent leurs lois comme à Bossangoa dans tout le pays.
Plus de viande de porc et de viande boucanée à consommer ?
Au nom de quelle loi ? La charia ?
C’est dans la Charte du CNT ça ?

Sinon, à part le dernier 1/4 de lune à Bangui et que le ciel est couvert, on dit quoi ?

Share This Post!

 

 

Partager cet article
Repost0
27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 18:26
Pourquoi la France n’a pas besoin d’intervenir en Centrafrique

france en rca

Par Gilles Deleuze

LES RELENTS COLONIAUX
Depuis les parodies des indépendances des pays francophones, disons à la louche entre 1958 et 1960, les forces coloniales françaises n’ont jamais lâché le morceau.
Subtilement, la présence française dans ces nouveaux pays ne se basait alors que sur des dits ‘Accords militaires de coopération’, une sorte d’euphémisme pour continuer ce qui a toujours été.
En local, cela confortait les pouvoirs des marionnettes fantoches à sa solde qu’elle installait au pouvoir, d’Houphouët-Boigny en Côte d’Ivoire à Ahmadou Ahidjo au Cameroun, en passant par Léon Mba au Gabon.
Et c’est ainsi que sous la baïonnette, un système de corruption généralisée pour assurer ses intérêts s’est mise en place dans toute la francophonie africaine.
Initiative du Général De Gaulle, qui vouait aux nègres comme il le disait lui-même, autant d’affection qu’un prédateur à sa victime convoitée.
L’armée est là pour veiller à ce que les africains francophones sachent voter dans le bon sens et continuent à rester des serviles bien obéissants.
La Colonisation s’est muée en Coopération.

La propagande démagogique a si bien fonctionnée que plus de 60 ans après, les africains dévouent toujours au Général De Gaulle une admiration dont on se demande s’ils savent même pourquoi ?

EN OUBANGUI CHARI ?
Digression préambulaire : Il serait bon que les ‘Centrafricains’ s’associent enfin à leur propre histoire et cessent de n’écouter que ce que les ‘autres’ le leur disent à propos.
Le nom de ce pays est OUBANGUI CHARI, le terme CENTRAFRIQUE était au départ une plaisanterie de Pierre Kalck faite à son ami Barthélémy Boganda, car l’idée de Boganda était bien de nommer ce pays du nom légitime et logique de OUBANGUI CHARI.
Mais Kalck sut le convaincre en lui disant que ‘Centrafrique’ et ‘République Centrafricaine’ sonnaient mieux en français.
Boganda francophile passionné finit par accepter.
Voilà comment l’histoire se fait.
Enfin à signaler, pour Boganda, le nom du pays est masculin;
C’est LE CENTRAFRIQUE.
D’ailleurs Bokassa par la suite le nommait toujours de la sorte.

Ceci étant, sans remonter à la pré-histoire des histoires tumultueuses des relations franco-centrafricaines, sachons que pour rester dans l’actualité, en 2002, démarrait à Bangui, l’installation d’une opération militaire française dite : ‘Opération BOALI’, avec au départ la participation d’un détachement militaire français de 200 hommes basé à Bangui.

Officiellement, cette opération visait à apporter un soutien logistique, administratif, technique et si besoin opérationnel à la MICOPAX (Mission de consolidation de la paix en République Centrafricaine). 
Mais, en réalité, les militaires français n’y sont que pour un seul objectif: Assurer la sécurité des ressortissants français et des intérêts français sur place si la situation l’exige.
Quitte à appuyer le tyranneau local du moment.
Depuis, au gré des allers et venus, le nombre des soldats de l’opération Boali variait.
Actuellement ils sont près de 400, avec une dizaines ‘d’honorables corespondants‘, comprendre des espions.

L’EPINE SELEKA
Depuis 30 ans, la France dispose d’une place militaire très forte au Tchad à N’Djamena, et doté de tous les moyens d’intervention rapide pour les opérations extérieures (Opex).
Là aussi comprendre, pouvoir agir dans les pays environnants le plus vite possible.
Depuis 1960, elle dispose aussi d’une base puissante au Gabon, à Libreville, toujours pour l’OPEX.
Les soldats français dans ces deux pays sont en alerte permanente.
Les Forces françaises au Gabon ou (FFG) sont puissantes.
Des forces terrestres et aériennes. Hélicoptères de type Fennec et Puma, des avions de transport de type Transall et des blindés légers de type Sagaie. Sans compter si nécessaire la venue d’avions de chasse et de bombardiers.

C’est un secret de polichinelle, la France de Sakozy se lassait de François Bozizé. Que d’ailleurs Sarkozy qualifiait de ‘l’autiste de Bangui’.
Le pouvoir politique a radicalement changé en France, mais certainement pas sa politique africaine.
Les mêmes conseillers pour l’Afrique sous Sarkozy sont toujours les mêmes sous Hollande.
Ce même François Hollande, par naïveté, par cynisme, par égoïsme ou par pur froid réalisme on ne sait, de dire courant Décembre 2012 en substance : “La France en Centrafrique y est pour défendre ses intérêts.”
Mots choquants pour la population centrafricaine à l’abandon prise entre deux feux.
On était habitué à plus d’hypocrisie de la part des prédécesseurs de Hollande.

Néanmoins, pour comprendre, François Hollande à l’inverse de son ex compagne Ségolène ROYAL, née au Sénégal, ne connaît pas l’Afrique. On pourrait même dire qu’elle ne l’intéresse pas.

S’il avait diplomatiquement validé le départ forcé du pouvoir de François Bozizé, il ignorait par contre tout de la déferlante de ces enturbannés dont les 3/4 ne parlent ni français ni sangö.
Mais l’histoire restait pour lui une affaire centrafricano-centrafricaine.

Le réveil fut délicat.
Par précaution, entre le 22 et le 24 mars, 300 militaires en provenance de Libreville arriveront à Bangui, en renfort des 250 militaires du détachement Boali.
Au cas ou, on ne sait jamais.
Entre temps, les ‘honorables correspondants’ ont dit à l’Elysée que les intérêts de la France en RCA ne seraient pas inquiétés, ni les français sur place.
Conséquence, la compagnie du 8ème RPIMa qui était à la base de M’Poko, le 6 Juin prendra le chemin du retour au Gabon, relevée par un petit détachement du 16ème BC de Bitche.
Ce qui laisse en total 400 soldats français à Bangui.

Benguigui_YaminaL’ALARME FRANÇAISE
Elle viendra de Yamina Benguigui, la ministre française déléguée chargée des Français de l’étranger et de la Francophonie.
D’origine algérienne, ses deux parents le sont, et surtout avec un père qui a fait la guerre d’Algérie, il fut l’un des responsables clandestins du Mouvement national algérien (FLN).
Elle était donc culturellement très sensibilisée au problème centrafricain et aux problèmes africains en général, contrairement à tous ses collègues du gouvernement, le chef de l’Etat inclus.
Et c’est elle qui en France à réveillé les consciences, en disant bien qu’il ne fallait pas oublier la Centrafrique.

Hors de la France, elle savait également que la Communauté internationale se fichait comme ‘balpeau’ de la Centrafrique.
Ce trou perdu de sauvages dans la jungle passant leur temps à s’entre-tuer n’intéresse personne.
Et surtout, elle ne présente plus d’intérêt stratégique.

Yamina Benguigui a fait un long lobbying auprès de François Hollande pour qu’enfin il jette un regard sur la Centrafrique, ne serait-ce que par humanité.

Car dans la tête du président français :
LA FRANCE N’A PAS BESOIN D’INTERVENIR EN RCA PUISQU’ELLE PEUT Y AGIR A TOUT INSTANT EN MOINS DE 48 HEURES.

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:55
LA RCA : UN ATOUT STRATEGIQUE POUR LA FRANCE
La RCA n’a guère eu l’occasion depuis son accession à l’indépendance en 1960, de la stabilité politique, et est aujourd’hui à sa sixième République.

 


LA RCA : UN ATOUT STRATEGIQUE POUR LA FRANCE
Dans la longue marche successive qui a caractérisé l’instabilité politique au gré des centrafricains, figure le rôle joué par la France. 
La Centrafrique a toujours eu des bons dirigeants, comme le cas du Barthelemy Boganda qui s’explique par le fait de ses remarquables pensées contemporaines qu’il a sues bénéficier des missionnaires catholiques. Cet ancien clergé qui avait le souci du développement de son pays a été tragiquement supprimé pour ses visions nobles qu’il attend mettre au service de son peuple. 

Cinquante trois ans d’indépendance, égalent, cinq coups d’état, à divers degrés de souffrances notamment par l’étendue et l’intensité des dégâts occasionnés. Des pertes en vies humaines, des déplacements massifs de la population rurale, d’importants dommages matériels, et des destructions des infrastructures économiques, des structures scolaires en détérioration, insuffisances des cadres et des agrégés dans les différents corps constitués de l’État. 
Ces derniers événements viennent fragiliser les tissus économiques, et sociaux- éducatifs ainsi que les structures sanitaires longtemps en péril. Suivi des vols, viol, rackettes, assassinat et exportation des biens des centrafricains au Tchad et au Soudan, aux yeux et aux sus de toutes les puissances étrangères installées en République Centrafricaine. 

Après la mort de Barthélemy Boganda, Abel GOUMBA, successeur légal de ce dernier s’est confronté à une coalition de l’Administration coloniale face à David Dacko. Écarté par un vote orchestré au profit de David Dacko, Abel GOUMBA entra dans l’opposition. 
Cependant, les jalons qui devraient servir de bases institutionnelles fortes, rêvés par Boganda n’ont pas survécu, car l’un des maillons clés du panafricanisme a été repoussé. 
La suite illustre la conduite monumentale des différents régimes qui vacillent, avec des lourdes conséquences sur toutes les institutions de l’État. 

La France giscardienne, offrit au pays son premier coup d’État militaire en 1966 renversant David Dacko du fait de son ouverture à la Chine communiste. Jean Bedel BOKASSA devint le Président et organisa plusieurs reformes avec succès, mais devient de plus en plus autoritaire au fil des années. Ainsi, l’instrumentalisation se mettant en place pour se séparer de son régime quand celui-ci se trouvait en Libye. 
Le 20 septembre 1979, deuxième coup d’état, David Dacko renversera Bokassa grâca à l’opération Barracuda. Ce dernier sera évincée lors d’une élection organisée et dont, les résultats seront contestés par les partisans d’Ange Félix Patassé. 

Le Chef d’état major, le général, André Kolingba avec l’aide de la France a réussi à s’emparer du pouvoir le 1er septembre 1981. Investi du pouvoir, il sera assisté du « gouverneur, homme de main » en la personne du Colonel Mansion, l’homme à multiples tâches, dont l’une des principales était de : verrouiller la RCA au profit des intérêts stratégiques et économiques français, du moins tels qu’ils étaient perçus à Paris pendant la Françafrique. Mansion n’était pas seulement au cœur de l’appareil d’État, il était l’État...C’était également l’époque où le budget français assurait les fins de mois centrafricains, en dépit de tous les plans d’ajustement structurel du FMI, pour que les fonctionnaires soient payés à temps et en heure et ainsi éviter un mécontentement populaire inévitablement dirigé contre la France – mais sans réellement aider ce pays déstructuré à bâtir un avenir. Source : « Jeu trouble de la France » 

Le 19 septembre 1993, Ange Félix Patassé remporte l’élection présidentielle, face à une importante coalition des opposants représentés par le Pr Abel Goumba, le sacré panafricaniste encore vivant à l’époque, et l’un des grandes figures respectées et compagnon de lutte de Boganda, connu pour son intégrité et sa prise de position. Mais, la France a choisi celui qui pouvait faire son affaire, malgré les irrégularités décriées lors de cette première élection démocratique de l’histoire centrafricaine. 
Le péché du président démocratiquement élu, était étanché du comportement revanchard de ses partisans, émaillé de la défaillance du système de contrôle de l’État, et de sa volonté de ne pas tendre la main du mendiant. 

Malgré le manque des mesures d’accompagnement de la dévaluation du Franc CFA en 1994, Ces actes ont profité à ces détracteurs politiques et ses alliés de faire mains basses sur les richesses naturelles jusqu’à sa chute. 
D’où, le quatrième coup d’état d’une comédie satirique sous le commandement de la France et son futur allié le Tchad, le 15 mars 2003 lorsque celui-ci revenait d’un sommet à Niamey, plaçant ainsi, François Bozizé à la tête de l’État. 
Ce dernier trop sûr de lui, et rassuré de sa protection par l’armée tchadienne et de l’aval de la France n’a pu conserver son pouvoir, rempli du népotisme et du caractère grandissant de la corruption, a fini par donner raison aux alliés de l’occident pour se séparer de son régime. 

Ces troubles à répétition ont pour conséquences, l’arrivée des mercenaires Tchadiens et Congolais en 2002, bien qu’étant parti pour la plupart, mais les rares qui se sont transformés en coupeurs de route, et sont devenus aujourd’hui des « Colonel » et « Généraux » dans la coalition SELEKA, qui sèment la désolation et la terreur aux seins de la population ; a l’issu d’un cinquième coup d’état le 24 mars 2013. 
Ces épisodes, malheureusement détruisent l’élan, individuel, et collectif pour toutes les institutions nationales de la République Centrafricaine. Cet état de fait, nous amène à dépendre totalement des partenaires extérieurs et remet en question tout effort de développement humain, économique, éducatif et sanitaire. 

Sur le plan humain :
 Des conséquences irréparables au sein des foyers centrafricains par les traitements inhumains orchestrés par les hommes à la gâchette facile, des humiliations que subissent les religieux, les fonctionnaires, des familles endeuillées et chassées de leur maison par les éléments mercenaires incontrôlés, la dignité réduit en cendres, la régression du système éducative. 

Sur le plan économique : Le cadre macro-économique présente de profonds déséquilibres. 
Plus de 65% de centrafricains vivent avec moins d’un US$ par jour. Avec une sous alimentation aiguë. Notre espérance de vie, est l’une des plus faibles du continent avec 47 ans en 1999. Le secteur informel est très réduit et complètement pressuré par les services fiscaux. Les sociétés d’Etat comme la SODECA (Société de Distribution d’Eau en Centrafrique), L’ENERCA pour l’Energie Centrafricaine, et la Société Centrafricaine des télécommunications (SOCATEL), connaissent une descente aux enfers et sont incapables de moderniser leurs installations et d’améliorer leurs services. 

Sur le plan universitaire : La rareté des professeurs qualifiés et décimés pour la plupart par des maladies et le caractère profond de la misère, la qualité de l’enseignement reste à désirer. Le calendrier académique n’est plus le même que celui de la France, du temps ou le Général Kolingba était à la commande avec le Colonel Mansion. L’université construite pour 800 étudiants se retrouve aujourd’hui avec plus de 15 mille jeunes âmes. 
Le laboratoire des sciences à l’université n’existe que de nom. Les matériels didactiques des travaux pratiques se font rares. 

Sur le plan Sanitaire : La précarité, sinon l’absence des structures sanitaires et hospitalière adéquates sans moyens et un personnel insuffisamment formé et démotivé. 
Toutes ces conséquences succinctement énumérés résultent des multiples changements militaro-politiques qu’a connus la République centrafricaine depuis son accession à l’indépendance. 

Des séquences d’instabilités politiques après la mort de Barthélemy Boganda, suivies des séries de feuilletons animés dans le milieu d’affaire Français, à l’exemple de « Dacko 1 et Dacko 2 ». Ainsi, nous pouvons comprendre que la politique est un jeu ou s’affrontent les passions et les intérêts, parole de « Nicolas Machiavel, homme politique et philosophe Italien» dans la parution, Le Prince, 

Un regard très modeste sur l’intermittence des perturbations issues des divers coups d’état nous montre comme suit : 
1959, disparition non-élucidé sur la mort de Barthélémy Boganda ; 
1960 : David Dacko, Président 
1966 : Jean Bedel Bokassa, Président ; 
1979 : David Dacko, de nouveau Président ; 
1981: première élection démocratique, David Dacko élu président 
1981 : André Kolingba Président ; 
1993 : deuxième élection démocratique, Ange Félix Patassé Président ; 
2003 : François Bozizé Président ; 
2013 : Michel Ndotodjia Président.
 
Fort de ce constat, le Centrafricain se demande, s’il a cette liberté de pensée et d’expression en dehors de toute forme d’influence et de pressions extérieures ? 

Aujourd’hui, que constate-t-on ? Nos hommes politiques avec, l’innombrable coloration des partis politiques, réclament tous l’idéologie de Boganda, alors que la nouvelle génération ignore les réels exploits, les idéologies, et la nature de lutte mener par ce grand homme, dont la vision était le bien-être de son peuple. Si ce n’est que l’hymne national et la devise que nos enfants en chantent et répètent sans connaître la profondeur. Quel héritage pourrions-nous laisser à cette progéniture sur Barthélemy Boganda ? L’éternel mausolée flanqué au carrefour de l’avenue baptisé en son nom ? 

La République Centrafricaine a des atouts, d’abord, par sa position géographique, au centre de l’AFRIQUE ou du moins le carrefour de cinquante quatre (54) Etat Africains ensuite, sa faune, ses forêts, son sous sol, son climat et la vision des ses fils et filles au lendemain de l’indépendance sont détournés dans le but de maintenir la Centrafrique comme un ballon d’oxygène suspendu dans l’air. 

La RCA et la France n’ont jamais un destin commun, et n’auront jamais un destin en commun. C’est de l’illusion et de la sophistique. Nous sommes liés par des accords de tutelle qui posent toujours problème, du fait de manque des institutions fortes telles que, l’Assemblé nationale qui doit contenir dans son ensemble, les hommes et femmes, dotés de solides connaissances des affaires de l’État. Ensuite, asseoir l’indépendance de la justice, guidée par le courage et l’honnêteté des Magistrats. Enfin, le sérieux et l’unification des hommes politiques pour la même cause quand il s’agit de l’intérêt national du Pays. 
Nous devons plutôt encourager et privilégier le partenariat dans les domaines pouvant tirer des bénéfices d’une action commune, et c’est l’une des exigences de la mondialisation. 

Chers compatriotes, notre Pays a beaucoup souffert et continue de souffrir. Quels bilans pourrions- nous tirer de ces Cinquante trois ans d’indépendance ? 
La division, le tribalisme et l’égoïsme ont fait notre faiblesse dans le passé. La division, le tribalisme et l’égoïsme feront notre malheur dans l’avenir. L’union fait la force. Notre Unité sera la condition sine qua non de notre indépendance. Parole du Président Barthélemy Boganda. Source, Gblobevisionnaire. 
L’Unité, la Dignité, et le Travail, feront de nous des hommes capables pour l’émergence de notre Pays. 


Par OUMAR YAGUITI, ICT 
Dimanche 25 Août 2013 - 21:26
bêafrika Sango
Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:46

AFRO BASKET 2013: LES RAISONS PREVISIBLES D’UN ECHEC PROGRAMME

La Centrafrique, pays de basket s’il en est, est un habitué de l’Afro-basket. Mais depuis un peu plus d’un quart de siècle, nous sommes tentés de croire que la RCA serait maudite par les Dieux des sports et abonnée à la 6ème place. Les années se suivent et se ressemblent pour le sport roi du pays. Les Championnats d’Afrique ( Afrobasket ) se déroulent et les piètres résultats des fauves se suivent. En effet depuis notre dernière victoire à TUNIS en 1987, nos populations n’ont plus eu le privilège et la joie de soulever  la princesse « YASSI TOUNGOU »

Comment peut-il en être autrement si la gestion, l’encadrement et la préparation de notre équipe nationale sont confiés à des incompétents pour la plupart, des médiocres pour certains, des incapables? La majorité des dirigeants sont des amateurs imbus de leurs personnalités. Comme tout ce qui se passe dans ce pays, c’est le perpétuel recommencement. L’improvisation est érigée en méthode officielle  de gestion des sports.

Tous les deux ans, les mêmes Noms surgissent ; la même instance sportive, le Comité National Olympique et Sportive Centrafricain (CNOSCA) pour ne pas le citer sort de son trou, de sa léthargie pour soit disant préparer la participation des fauves du basket à l’Afrobasket ; les mêmes questions récurrentes d’assurances des athlètes, leurs primes, la problématique de leur regroupement, les frais de transport…se posent sans qu’aucune solution ne soit esquissée par les responsables ?

Deux années après la campagne de Madagascar où nous avons terminé à la 6ème place, le basket Centrafricain sans tirer les leçons de cette dernière campagne, retombe dans ses travers du passé par manque de volonté, de vision, par l’incapacité et l’aveuglement des instances sportives nationales (Ministère de la Jeunesse et des Sports ; le Comité National Olympique et Sportif Centrafricain ; la Fédération centrafricaine de basket) et aussi par l’absence de transparence dans la gestion.

Ces dirigeants et responsables ont souvent la malhonnêteté et le courage de présenter un bilan qui relaierait aussi bien les résultats sportifs que financiers.
Dans tous les cas, il conviendrait de poser les bonnes questions pour arriver à un moratoire permettant de tirer les leçons d’une expérience malheureuse nous ayant privés de nos meilleurs joueurs frustrés par leur tâtonnement et qui se perpétue.

Au moment où les résultats des fauves basket ne correspondent pas aux sacrifices consentis aussi bien par les athlètes que par l’État, les instances sportives nationales devraient être en première ligne pour donner à nos populations les causes réelles de nos échecs renouvelés. La suite logique de ces échecs répétés est la démission des dirigeants défaillants ; encore faudrait-il qu’ils soient courageux et humbles pour passer le relais.

Savoir rendre compte de ses actions et savoir se remettre en cause n’est point le fort de nos dirigeants sportifs par méconnaissance. Est-il nécessaire de souligner que les principaux responsables du CNOSCA n’ont jamais pratiqué ou à peine ?. Combien de licenciés la Fédération de tennis de table peut-elle revendiquer sur les 10 dernières années? . Et celle de gymnastique ? . Ces deux fédérations organisent-elles régulièrement un championnat ? Combien d’athlètes ont ils fait éclore dans leur programme successif de formation ?.

Ce sont pourtant les Présidents de ces fédérations qui ont la charge du développement et de l’essor des sports en  Centrafrique, et ce depuis près de deux décennies. Peuvent-ils encore avoir quelque défis à relever après tant d’années de « sur place » pour ne pas dire de recul ? . Pensent-ils un seul instant passer le relais en bon sportifs ?. Le CIO exige que les comités olympiques nationaux se renouvèlent au plus tard deux ans après le déroulement des Jeux Olympiques. La Centrafrique ne doit pas faire partie du CIO ???.

Ces interrogations sont certainement superfétatoires pour eux car, comme pour tous nos dirigeants, ces fonctions sont à vie. Cela peut se comprendre si l’on considère que ces postes sont tellement juteux (d’aucuns démontreront une gestion hasardeuse de subventions ; d’autres pesteront pour des voyages offerts avec épouse pour les jeux olympiques, les championnats mondiaux d’athlétisme et autres largesses du CIO ; frais de mission) que nos baroudeurs, toujours dans les entrailles du sport Centrafricain ne pensent qu’à manipuler les sportifs et les accompagnants (Qu’on ne se méprenne pas plusieurs cas existent) et à exploiter la jeunesse. Le temps viendra où nous prouverons que ces postes constituent le fonds de commerce de ces dirigeants !

Ainsi les seules disciplines qui semblent fonctionner sont le foot et le basket. Les subventions de la Fédération Internationale de Foot-ball Amateur (FIFA) et du CIO expliquent cela. Selon les faits relatés par nos sportifs et dirigeants floués, d’aucuns diront que ces subventions sont pour une grande partie détournées par les responsables nationaux du sport. La campagne d’Abidjan ne fait pas exception.

De Bangui à Super Dévoluy(ville située à proximité de Grenoble)

Ces dix dernières années, dans le cadre de la solidarité olympique, le CIO participe aux frais de préparation des fauves à la CAN. C’est ainsi que les frais de séjour (généralement en France) pour le regroupement et la préparation ; les éventuels déplacements en France pour des matchs amicaux ainsi que les équipements… sont pris en charge par le CIO.

Jusqu’à cette année, cette subvention du CIO était gérée par le CNOSCA. Parce que ce dernier et la fédération de basketball n’ont pu justifier l’utilisation de la subvention de la campagne de Madagascar, que le CIO a confié la gestion de la subvention de la préparation pour l’Afrobasket d’Abidjan au Comité National Olympique Français (CNOF). Ce qui explique l’implication de M. DAO dans la préparation des fauves.

Le séjour français devait permettre de regrouper tous les joueurs pour qu’ensemble ils améliorent leurs cohésions dans le jeu et que des complicités naissent entre eux. Malheureusement tous les joueurs n’étaient pas à Super Dévoluy dans les Hautes Alpes pour des raisons administratives ou d’égos démesurés. Par conséquent, nous aurons une équipe bancale à Abidjan en Côte d’Ivoire.

De Super Dévoluy à Abidjan via Dakar et Ouagadougou

Dans le programme de la préparation des fauves, il était prévu leurs participations à deux tournois ayant respectivement lieu à Dakar au Sénégal et à Ouagadougou au Burkina Faso avant de rejoindre Abidjan pour l’Afro-Basket.
C’est en quittant Super Dévoluy par bus pour Paris où les fauves devaient s’envoler pour Dakar que l’improvisation a éclaté au grand jour.

Partie de Super Dévoluy à 04 h du matin, après 10 h de voyage sans boire ni manger, la délégation  Centrafricaine n’est arrivée à Roissy Charles De GAULLE qu’à 14 h 20’ au lieu de 13 h. A leur arrivée, les fauves ne se doutaient pas un seul instant que l’enregistrement de leur vol était terminé et le vol clôturé. Les difficultés ont commencé :
- Absence remarquée des organisateurs du périple,
- Abandon de la délégation avec bagages sans qu’aucune solution alternative ne leur soit proposée (repas, hébergement, date probable d’un prochain départ),
- Blocage de négociation avec Air France et frustration des autres interlocuteurs dus à la perte de sang froid du prestataire de voyage,
- Des billets d’avion non modifiables et non remboursables,
- Non prise en charge de la délégation pratiquement abandonnée et perdue.

Au lieu que les organisateurs et la délégation trouvent une solution conjointe, cette dernière a été fustigée de tous les maux.
Qu’à cela ne tienne ! La délégation poursuivrait son voyage sur un vol Air France et il devenait impératif de régler les pénalités dues aux modifications des billets. La situation cocasse à cet instant entrait dans une impasse généralisée au vu du mutisme cynique des organisateurs et du voyagiste ajouté au manque de moyens financiers de la délégation. Notre participation à l’Afro-basket devenait aléatoire à ce moment.

Face à cette situation perdue (frais d’assurance des joueurs non garantis ; pénalités pour modification de billets et de « routing » non payées ; prise en charge du séjour imprévu de la délégation à Paris non assurée). j’ai du de bonne foi déboursé 12.120€ (5.640€ pour l’assurance des joueurs à la CAN et 6.480€ pour les frais complémentaires des billets) après avoir reçu toutefois les garanties d’un remboursement (J’avais déjà fait un geste de 480€ pour toute la pharmacie et besoins médicaux)

L’impréparation et l’improvisation ont eu comme première conséquence la non participation des fauves au tournoi de Dakar. Nos athlètes ont donc eu une préparation tronquée pour ne pas dire sabotée.

Il a fallu que j’intervienne de nouveau le jour du départ de la délégation pour Ouagadougou. En effet, j’ai dû coordonner l’enregistrement de la délégation avec Air France alors que les responsables et les organisateurs n’ont pas pris la peine de prévenir les organisateurs du tournoi de Ouagadougou du changement dans l’itinéraire de la délégation Centrafricaine de leur numéro de vol, de la date et de l’heure estimée de leur arrivée.

Ce qui devait arriver, arriva ! La délégation Centrafricaine, une fois à Ouagadougou a passée 3 h à l’aéroport entre les formalités et les problèmes de visas et l’absence des responsables du tournoi de Ouagadougou à l’arrivée des sportifs centrafricains.

Cet aléa, une fois dénoué, un nouvel écueil est survenu. Comme si les Centrafricains n’étaient plus attendus pour ce tournoi ; leur hébergement laissait à désirer. Ils se sont trouvés à 4 par chambre et pire, deux par lit. Pour couronner cet état de fait, la délégation est partie avec une ardoise salée des frais d’hébergement due à une arrivée 2 jours avant le début du tournoi.

Nos responsables et organisateurs (CNOSCA et CNOF) se sont-ils efforcés de vérifier les structures d’accueil et les conditions de participation de nos joueurs avant de les envoyer à l’aventure ?

Malgré cet amateurisme notoire, les fauves ont répondu présents au tournoi de Ouagadougou (2 victoires sur 3 matchs). Mais notre participation et notre prestation à l’Afro-basket est compromise, compliquée et devient une gageure, puisque :

- Les primes des joueurs étaient toujours improbables (Prime au total de 1500€ par joueur pour deux mois de regroupement reçu le 23-08-2013);
- Tous les joueurs sélectionnés ne sont pas à Abidjan ;
- Les joueurs n’ont pas l’esprit tranquille, car ils ne peuvent avoir des nouvelles de leur famille.

Nous nous retrouvons dans les mêmes conditions qu’à l’Afro-basket de Madagascar où les joueurs s’étaient mis en grève après deux matchs de compétition.

Ce récit relate une expérience qui n’est malheureusement pas nouvelle pour les Centrafricains. Nous l’avons dit plus haut ; l’impréparation de nos sportifs est un éternel recommencement.

Est-il possible de percer l’abcès ? Pourquoi devrions-nous être surpris que notre pays régresse et donne l’impression d’un avion sans pilote? . Un médiocre, même s’il s’exprime bien, s’il est démagogue, ne ramènera jamais que de piètres résultats.

Certains évoqueront que nos dirigeants, et curieusement nos soit disant responsables sportifs exploitent nos athlètes, vivent sur le dos de la jeunesse qu’ils prennent en otages.

Courageusement, demandons nous que sont devenus les 45 millionsqui viennent d’être alloués par l’état centrafricain dont 25 millionsconfiés par le président de la république au Ministère d’état pour couvrir les frais inhérents à la compétition ?

Selon nos informations, il semblerait que seuls 20 millions ont été mis à disposition du bureau fédéral
Où sont donc partis les 5 millions manquants ? D’après nos calculs, les dépenses estimées avoisineraient les 10 Millions. Où se cachent les 10 autres millions ?

Courageusement, demandons nous où se trouve le ministre de la jeunesse et des sports avec les 20 millions mis à disposition par le gouvernement pour d’autres frais qui sont toujours en attente de règlement ?

Courageusement, nous devons exiger un bilan exhaustif de ceux qui, depuis près de 20 ans, ont le destin du sport centrafricain. Ils ont montré des signes forts d’incompétences, nous prouvant comme le disent certains qu’ils sont nécessiteux et criminels économiques, car détourneurs des subventions des instances sportives mondiales destinées au sport Centrafricain et des deniers publics.

Courageusement, les  Centrafricains doivent réclamer un audit (organisationnel et financier) de la gestion hasardeuse du passé. Il nous faut engager une refonte profonde des différentes composantes du sport Centrafricain; repenser et réécrire les règles constitutives des instances sportives nationales et définir ensemble une vision claire, et une politique nationale en harmonisant les structures institutionnelles et surtout confier la gestion du sport Centrafricain à des compatriotes véritablement responsables, ayant le sens du sacrifice et du partage,
capables de travailler en équipe et aptes à rendre compte de leurs actions. C’est seulement dans ces conditions que nous pourrions relever les défis du futur.

La priorité n’est pas aujourd’hui aux élections du Président du CNOSCA et de la fédération de basketball. Il est donc illusoire de penser à une quelconque élection (qui par ailleurs a des chances d’être manipulée et truquée) des responsables du CNOSCA et du bureau fédéral si les déclinaisons soulevées et citées plus haut ne trouvent de solutions durables.

Fier d’être Centrafricain et fier de soutenir les fauves pour les deux prochains matchs. Soyez nombreux et encouragez ces jeunes talents et le staff qui sont pris aux pièges d’un système mafieux gangrenant notre sport roi.

Trop c’est trop et que l’ADN de mon feu père et tous les amoureux de ce sport complètent ce message fort de leur témoignage et expérience.

Guy Maurice LIMBIO

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 06:36
Lundi 26 août 2013

huitieme.png

Après le tour préliminaire qui s’est joué du 20 au 25 Aout, Place aux huitièmes de finale qui se joueront les 26 et 27 Août. Après avoir réussi à mettre en difficulté les Palancas Negras d'Angola lors du dernier match de poule, les fauves centrafricains défieront les D'Tigers du Nigéria. Si les partenaires de Mike Mokongo parviennent à rééditer leur prestation du samedi dernier, ils pourront sérieusement inquièter le Nigéria, un des grands favoris de la compétition. Les coéquipiers de Ike Diogu et des frères Aminu (Alade, Al Farouq) sont déjà prévenus, les centrafricains sont prêts à vendre chèrement leur peau lors de cette rencontre à élimination directe.

 

Voici les affiches au programme:

 

Lundi 26 Août

 

12h30 :  Maroc Vs Algérie

15h00 :  Cameroun Vs Mozambique

17h30 :  Cote d’Ivoire Vs Burkina Faso

20h00 : Angola Vs Mali

 

Mardi 27 Août

 

12h30 :  Tunisie Vs Egypte

15h00 :  Cap Vert Vs Congo

17h30 :  Sénégal Vs Rwanda

20h00 :  Nigeria Vs Centrafrique

 

Partager cet article
Repost0

Recherche