25 janvier 2010
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RDC : Gabriel Goloumo tape du poing sur la table
M. Gabriel Goloumo, président du directoire du Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC), a animé un point de presse, le jeudi 21 janvier 2010, dans la salle de conférence de cette formation politique.
/http%3A%2F%2Fwww.leconfident.net%2Fphoto%2F1834361-2503268.jpg%3Fv%3D1264260364 "RDC : Gabriel Goloumo tape du poing sur la table")
Ces derniers temps, le torchon brûle entre les représentants de l’Union des Forces Vives de la Nation à la Commission Electorale Indépendante (CEI) et le bureau de la coordination. Il s’agit pour les représentants de l’UFVN de suspendre leur participation à la CEI. Ce qui a déplu aux délégués qui ont qualifié d’illégal les mesures prises par la Coordination pour demander leur retrait de la CEI. Suite à cette décision, Gabriel Goloumo, lui-même délégué et président du directoire du RDC, a bien voulu s’expliquer devant les professionnels des médias.
Dans son propos liminaire, M. Gabriel Goloumo a déclaré que le pays s’achemine vers les consultations législatives et présidentielles. Ce processus doit aller jusqu’à son terme, a-t-il poursuivi. Tout en exigeant du gouvernement à trouver des solutions pour participer aux élections, M. Gabriel Goloumo n’a pas manqué d’évoquer le cas de la disparition de Charles MASSI qui serait décédé des suites de torture. Il a affirmé que la vie de tout Centrafricain vaut très cher. Et sa pensée va également vers tous ceux qui ont perdu la vie dans de nombreuses crises militaro-politiques.
Au cours de ce point de presse, M. Gabriel Goloumo, a fait état de toutes les irrégularités qui ont entouré cette décision. Il a même déclaré que l’UFVN se classe en dictateur pour dicter sa loi. Ce qui est contraire au principe démocratique, a déclaré Goloumo qui se veut d’un parti dit d’opposition démocratique. Il ne s’agit pas de faire de l’opposition négative mais plutôt constructive. Il a battu en brèche la décision de la coordination de l’UFVN. Le RDC prend du recul par rapport à la dérive de l’UFVN. De ce fait, le président du directoire du RDC souhaite que l’UFVN soit démocratisée. Le RCD, selon certaines rumeurs, veut faire alliance avec le KNK. Cette allégation a été démentie par son président qui estime, pour sa part, que pour l’heure rien n’est en vue. Le RDC est un grand parti et est présent dans les huit arrondissements de Bangui. Il en est de même pour les 16 préfectures. Le RDC est un grand parti, a déclaré M. Goloumo. Il n’est pas question que les petits partis, qui ne sont même pas représentatifs, puissent prendre des décisions dont les conséquences seront dramatiques sur les militants et le parti RDC, a spécifié ce dernier.
Les décisions ne doivent pas être prises d’une manière unilatérale. Or, selon M. Goloumo, les leaders des partis qui se trouvent dans l’Union doivent prendre des décisions d’une manière consensuelle. Ce qui n’est pas le cas, a déploré le président du directoire du RDC. Pour sa part, le Coordonnateur de l’UFVN décide le plus souvent seul à la place des autres leaders des partis politiques qui sont dans l’UFVN. L’opposition ne doit pas être négative. Il ne suffit pas de dire non parce qu’il faut dire non. Les délégués de l’UFVN à la CEI ne sont pas associés. C’est pourquoi, il y a eu réticence de ceux-ci. Ils travaillent encore au nom de l’intérêt national et non faire la volonté d’une personne. C’est sur tous ces points que Goloumo s’était appesanti. Il a expliqué que le RDC est en train de se structurer et il n’est pas question d’une opposition de règlements de compte, mais une opposition crédible, constructive et responsable. Le RCD est dans l’opposition et n’a aucune intention de s’arrimer à un quelconque autre parti ou collectif. M. Goloumo tape du poing sur la table pour réfuter en bloc la décision de la Coordination qu’il juge nulle et de nul effet. Il a déclaré que tous les délégués continuent de siéger à la CEI. Il a donné un exemple lorsque l’UFVN a refusé de répondre à l’invitation de la CEI lors de sa plénière pour discuter des points soulevés par cette entité politique. Selon M. Gabriel Goloumo, toutes les revendications de la Coordination de l’UFVN ne sont pas avérées. Même en ce qui concerne les comités préfectoraux de la CEI, les raisons évoquées par l’UFVN sont purement et simplement balayées du revers de la main par M. Gabriel Goloumo. Si l’UFVN ne se démocratise pas, le RDC se désolidarisera d’elle, car c’est un grand parti qui pèse sur l’échiquier politique national et international, a déclaré le président du directoire de cette formation politique.
Dans son propos liminaire, M. Gabriel Goloumo a déclaré que le pays s’achemine vers les consultations législatives et présidentielles. Ce processus doit aller jusqu’à son terme, a-t-il poursuivi. Tout en exigeant du gouvernement à trouver des solutions pour participer aux élections, M. Gabriel Goloumo n’a pas manqué d’évoquer le cas de la disparition de Charles MASSI qui serait décédé des suites de torture. Il a affirmé que la vie de tout Centrafricain vaut très cher. Et sa pensée va également vers tous ceux qui ont perdu la vie dans de nombreuses crises militaro-politiques.
Au cours de ce point de presse, M. Gabriel Goloumo, a fait état de toutes les irrégularités qui ont entouré cette décision. Il a même déclaré que l’UFVN se classe en dictateur pour dicter sa loi. Ce qui est contraire au principe démocratique, a déclaré Goloumo qui se veut d’un parti dit d’opposition démocratique. Il ne s’agit pas de faire de l’opposition négative mais plutôt constructive. Il a battu en brèche la décision de la coordination de l’UFVN. Le RDC prend du recul par rapport à la dérive de l’UFVN. De ce fait, le président du directoire du RDC souhaite que l’UFVN soit démocratisée. Le RCD, selon certaines rumeurs, veut faire alliance avec le KNK. Cette allégation a été démentie par son président qui estime, pour sa part, que pour l’heure rien n’est en vue. Le RDC est un grand parti et est présent dans les huit arrondissements de Bangui. Il en est de même pour les 16 préfectures. Le RDC est un grand parti, a déclaré M. Goloumo. Il n’est pas question que les petits partis, qui ne sont même pas représentatifs, puissent prendre des décisions dont les conséquences seront dramatiques sur les militants et le parti RDC, a spécifié ce dernier.
Les décisions ne doivent pas être prises d’une manière unilatérale. Or, selon M. Goloumo, les leaders des partis qui se trouvent dans l’Union doivent prendre des décisions d’une manière consensuelle. Ce qui n’est pas le cas, a déploré le président du directoire du RDC. Pour sa part, le Coordonnateur de l’UFVN décide le plus souvent seul à la place des autres leaders des partis politiques qui sont dans l’UFVN. L’opposition ne doit pas être négative. Il ne suffit pas de dire non parce qu’il faut dire non. Les délégués de l’UFVN à la CEI ne sont pas associés. C’est pourquoi, il y a eu réticence de ceux-ci. Ils travaillent encore au nom de l’intérêt national et non faire la volonté d’une personne. C’est sur tous ces points que Goloumo s’était appesanti. Il a expliqué que le RDC est en train de se structurer et il n’est pas question d’une opposition de règlements de compte, mais une opposition crédible, constructive et responsable. Le RCD est dans l’opposition et n’a aucune intention de s’arrimer à un quelconque autre parti ou collectif. M. Goloumo tape du poing sur la table pour réfuter en bloc la décision de la Coordination qu’il juge nulle et de nul effet. Il a déclaré que tous les délégués continuent de siéger à la CEI. Il a donné un exemple lorsque l’UFVN a refusé de répondre à l’invitation de la CEI lors de sa plénière pour discuter des points soulevés par cette entité politique. Selon M. Gabriel Goloumo, toutes les revendications de la Coordination de l’UFVN ne sont pas avérées. Même en ce qui concerne les comités préfectoraux de la CEI, les raisons évoquées par l’UFVN sont purement et simplement balayées du revers de la main par M. Gabriel Goloumo. Si l’UFVN ne se démocratise pas, le RDC se désolidarisera d’elle, car c’est un grand parti qui pèse sur l’échiquier politique national et international, a déclaré le président du directoire de cette formation politique.
Samedi 23 Janvier 2010
Alexis REMANGAÏ
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